Leila , moi et notre mentor (5) - Histoires de Sexe

Leila , moi et notre mentor (5)

Leila n’avait pas lâché la large hampe, tandis que, pour la première fois, j’avais le gland d’un homme dans la bouche. Et quel gland !! aussi gros qu’une prune bien mure. La texture était agréable, et le goût, pas désagréable du tout. Mais c’était surtout la situation, la posture et la sensation d’humiliation qui m’excitaient. J’avais honte de commencer à aimer ça. Je caressais ses grosses boules d’une main, tandis que de l’autre, je caressais les fesses de ma chérie.

Leila aussi semblait aimer ça. Elle continuait d’astiquer le chibre de sa main droite, fixant la scène d’un regard lubrique que je ne lui connaissais pas et commentant de façon "presque" insultante ma première fellation.

— Tu aimes ça mon chéri hein !! Elle est bonne sa grosse bite ! vas-y suce comme une salope, tête bien ce gros gland ! je sais que tu te régales !

Elle serrait fort le sexe de Bachir, et me fouettait les joues avec quand il sortait de ma bouche, elle était déchaînée.

Bachir n’était pas en reste. Il grognait de plaisir, appuyant sur ma tête, et y allait aussi de son petit commentaire.

— Hmmm..... Tu suces bien mon petit...... j’adore ta bouche !

Je suçais de plus en plus ardemment et bruyamment, je me prenais au jeu et ne voulais pas décevoir mes deux "amoureux".

Leila me laissa encore me régaler de ce gland quelques minutes, puis reprit le chibre dans sa bouche. Elle suçait avec passion, enfonçant la barre de chair plus loin dans sa bouche, et alternant lechouilles sur la ...

... hampe et les boules et succion du gland uniquement.

Je la laissai se régaler et retournai entre ses fesses. Elle resta penchée sur la bite de Bachir, mais releva ses fesses pour se mettre à quatre pattes, les cuisses largement écartées pour me donner un meilleur accès à son petit trou plissé.

Une main sur chaque fesse, je les écartai et enfonçais directement ma langue dans l’orifice entrouvert. Bachir commenta:

Ouvre-la bien Steve, prépare-la pour moi s’il te plaît.

Oh oui !! il me plaisait de fouiller ce trou. J’y enfonçai un doigt...... puis deux....... pour finalement, lui branler l’anus avec trois doigts. Ma salive et son excitation comme uniques lubrifiant.

Je la regardais sucer cette queue sans ressentir de jalousie, et la préparais même à me "cocufier", à offrir son pucelage anal à un autre homme dont je commençais aussi à avoir envie.

Bachir la stoppa et lui demanda si elle avait toujours envie d’être enculée.

— Oui !! répondit-elle sans hésitation !! j’ai envie de baiser !!

— Alors viens te mettre à quatre pattes au bord du lit ma chérie, répondit-il en se levant. Il ouvrit le tiroir du chevet et sortit un préservatif, puis me demanda d’aller chercher la bouteille d’huile d’olive à la cuisine.

— Pour quoi faire ? demanda Leila.

— Pour graisser ce beau petit trou vierge ma chérie, répondit Bachir, qui déjà passait un doigt humecté de salive entre les fesses de Leila, en position, la tête contre le lit et les fesses en l’air. Elle était ...