1. Anne-Sophie, libertinage en province. (2)


    Datte: 16/03/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sexvista, Source: Xstory

    ... je tirerai l’une d’entre vous au sort. Elle sera fouettée et je la sodomiserai à sec. Les trois femmes n’en mènent pas large. La matrone insiste en arguant son expérience. Régulièrement sodomisée par son époux, cette perspective ne la trouble guère.
    
    Après un moment d’hésitation, les dames décident d’accepter le marché. Elles sont nues toutes les trois. Le kabyle est repositionné sur une table réglable en hauteur en position de levrette, fesses et scrotum exposés, testicules et verge pendants. C’est la petite dame qui commence la première à lui administrer le bouffage de cul. Elle lui pourlèche la raie pendant presque cinq bonnes minutes. C’est ensuite au tour de la matrone de lui titiller l’anus avec sa langue. Le kabyle commence à bander. Enfin, Anne Sophie se met à genoux, passe un gant en latex qu’elle couvre copieusement de gel lubrifiant. Elle lui introduit deux doigts dans l’anus en lui faisant un toucher rectal pour bien stimuler la prostate. Le kabyle bande comme un cheval, son gland épais est rouge écarlate. Ce traitement prostatique dure quelques minutes. Du liquide préséminal s’échappe de son méat. La matrone demande l’autorisation de le lécher ce qui lui est refusé.
    
    — Non attendez, il n’est pas encore complètement excité, dit Anne-Sophie.
    
    Vient ensuite le clou de la séance, la sodomisation au gode-ceinture.
    
    Habituellement utilisée entre lesbiennes, cette pratique progresse ...
    ... dans les milieux libertins hétérosexuels qui cherchent à pimenter leurs jeux. Le gode est très réaliste, veiné, long d’une trentaine de centimètres. La matrone s’équipe. Elle vide le reste du tube de gel dans la raie du kabyle et sur le gode met un gant en latex et lui entre deux doigts dans l’anus pour le travailler une dernière fois. Elle ressort les doigts, écarte au maximum la raie poilue et sans précaution lui introduit le gode. Le kabyle sursaute, mais encaisse bien le coup de boutoir. Elle le lime ensuite pendant trois bonnes minutes jusqu’à ce que sa maîtresse dise :
    
    — Il ne jouira pas par le cul. Il faut le finir autrement.
    
    La matrone insiste et continue à le besogner, mais doit se rendre à l’évidence. Le beau mâle gémit, mais ne lâche pas sa semence.
    
    — Il faut lui lécher les couilles par derrière, qui veut le faire ?
    
    La matrone laisse la petite dame terminer ce mâle, elle s’empresse de se baisser en tirant la langue vers le scrotum du kabyle. Elle lui lape les testicules pendant deux minutes, le kabyle crie maintenant de plus en plus fort et du liquide préséminal coule le long de son gland.
    
    Anne-Sophie s’approche de côté et lui lèche délicatement le méat pour récupérer le liquide, puis lui enfourne le gland. Après quelques minutes de traitement, son amant libère toute sa semence dans sa bouche.
    
    Le beau mâle est ensuite enchaîné à nouveau sur le cadre en bois...
    
    A suivre 
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