1. Jean Louis, l'autre client du kiosque à tabac.8. Chez nous, en cachette.


    Datte: 16/03/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Plaisir39, Source: Hds

    Cette histoire s'est déroulée peu de temps avant le départ de Jean Louis, c'est un peu confus, dans ma mémoire, je dirais un peu moins d'un mois, ou 2 semaines, enfin bref!.
    
    J'adorai penser que ma belle et timide Lisa, assouvissait ses phantasmes pervers avec Jean Louis, mais je ressentais aussi une frustration, de ne pouvoir assister à leurs ébats.
    
    Bien sûr, j'ai eu quelques photos de son premier gang bang, mais cela ne me suffisais pas.
    
    A force de réflexion, j'ai imaginé un système dans notre chambre, pour voir sans être vu.
    
    J'ai mis notre armoire en coin, afin de me cacher derrière, et profiter du reflet du lit dans un miroir fixé au mur.
    
    J'ai du insister pour que Lisa accepte de baiser avec lui dans notre chambre.
    
    Lorsqu'elle lui a proposé, il a très vite accepté, excité par l'idée de la baiser dans la maison conjugale, mais voulait être rassuré, au niveau de mon absence.
    
    Il ne voulait pas que je rentre à l'improviste.
    
    Nous avions convenu d'une heure d'arrivée, pour être prêt, je guettai les bruits de pas, dans l'escalier de l'immeuble ancien.
    
    Lorsque j'ai reconnu la voix de Lisa, et les bruits de ses talons, j'ai fermé la porte à clés et je me suis caché derrière l'armoire, en la tirant vers moi, afin de ne laisser que quatre à cinq centimètres entre le mur et le coin du meuble.
    
    Ma femme insère sa clef dans la serrure, je suis pris de frissons, est-ce que je vais me faire débusquer au risque de passer pour un fou.
    
    Ils pénètrent dans ...
    ... l'appartement, Lisa prend soin de refermer derrière elle, en tournant le verrou.
    
    Elle lui propose à boire, pendant leur collation, dans la cuisine, ils parlent de sexe, en l'occurrence, leur dernière rencontre avec Denis et ses copains.
    
    Les voix se taisent, des bruits de tissus frottés et de gémissement résonnent faiblement. Je devine qu'ils s'embrassent fougueusement, en se caressant.
    
    Les sons de ses talons aiguilles qui approchent, m'indiquent qu'ils arrivent au salon. J'imagine au son ambiant, que les vêtements se défont, et que les caresses deviennent plus sexuelles.
    
    Elle gémit de plus en plus fort. Jean Louis lui dit:
    
    "Tu m'excites toujours autant, ma petite salope!".
    
    "Et si j'étais pas aussi salope?".
    
    "Je me serai lassé! C'est sûr!".
    
    "Donc, tu aimes quand je fais ça!".
    
    Il gémit, des bruits de succions résonnent, je bouillonne de ne pouvoir assister à la scène.
    
    "Ahhhhhh, tu suces comme une reine!".
    
    Entre de nombreux sons de fellation, elle ajoute:
    
    "Tu l'aimes ma bouche?".
    
    "Oui, bien sûr! Tu veux voir comme je l'aime?".
    
    J'entends ma femme gémir et faire des bruits d'étouffements de gorge.
    
    "Et toi? ca t'excite ça! dis-moi?".
    
    "Mmmmmmouiii! Pffffffff! Ahhhhhhhh! Salaud, Mmmmmmmmm".
    
    Puis, elle fait un son, qui laisse penser qu'elle reprend son souffle.
    
    "Ohhhhh, Jean Louis! Tu me rends folle! fais-moi jouir! Baises-moi!".
    
    "Fais-moi confiance, je vais te baiser et t'enculer aussi, comme tu aimes!".
    
    "Tout ce que tu veux! ...
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