Hymen, Ô Hyménée
Datte: 15/03/2023,
Catégories:
fff,
gymnastiqu,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
caresses,
intermast,
Oral
69,
fdanus,
uro,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... m’inspireront les ébats de nos deux héroïnes. J’éprouve une grande affection pour elle, ce soir, plus que d’habitude. Je veux me perdre dans ses yeux verts, en jouissant. Pour l’instant, à cheval derrière elle sur l’accoudoir, je la serre contre moi en regardant arriver les mariées.
Elles se tiennent par la main. La silhouette élancée de Michèle précède légèrement celle plus menue de Kristel. Côte à côte, le contraste de leurs anatomies est encore plus saisissant. Le svelte corps bronzé de l’une rehausse le fin tanagra pâle de l’autre. Les globes ronds de Kristel font ressortir les seins pointus de Michèle. Les bouts roses s’opposent aux tétons sombres. Les fines cuisses claires s’accotent aux longues cuisses brunes. Le fin duvet clair répond à l’abondante toison noire. Tout les distingue et tout les complète. Les yeux bleus et les yeux marron brillent d’un même amour.
Malheureusement, Brigitte n’aura pas saisi l’instant fugace de cette image. Elle est trop prise par une ultime vérification de ses cadrages. Tant pis, ou tant mieux. Nous n’en conserverons que le souvenir en mémoire, mais celle-ci n’est-elle pas souvent la meilleure gardienne des moments heureux ?
Kristel se retient à la main de Michèle et se laisse allonger doucement sur le canapé. Nous voulons ranger nos pieds pour mieux lui faire place, mais elle nous en empêche de son bras libre. Elle veut nous sentir contre elle, de la tête aux chevilles, pour nous communiquer tous les frémissements de son corps. ...
... Michèle la chevauche à quatre pattes, recherchant elle aussi, de la cuisse à l’épaule, le contact de jambes complices.
Alexandra et moi sommes les moins bien loties. Nous n’avons chacune que nos orteils à offrir en coussin à la nuque de Kristel. Mais nous aurons la joie de voir le visage des amantes dans leurs orgasmes et de partager leurs regards de bonheur.
La bouche de Michèle se rapproche. Kristel tend ses lèvres à sa rencontre. Elles s’embrassent. Longuement, profondément, indéfiniment. Quand elles se séparent, enfin, au bord de l’asphyxie, c’est pour se reprendre, se lécher, se manger, se sucer, se dévorer. Leurs mains s’enlacent et s’étreignent, se pressent et se quittent, se cherchent et se retrouvent, aimantes.
Une longue inspiration les éloigne, les yeux dans les yeux, la figure barbouillée de salive, le sourire ravi. Comme à regret, Michèle se détourne des iris bleus qui rayonnent d’adoration. Sa langue mutine taquine un lobe d’oreille, glisse sur le pli de la gorge, titille la peau fine du cou, remonte vers la nuque, revient chatouiller le défaut de l’épaule, descend sur la poitrine. Kristel frémit et soupire.
Les bras de Kristel entourent le dos de Michèle, ses mains le caressent. Michèle se soulève, elle saisit les poignets de Kristel, les bloque contre les hanches. Sa voix n’est qu’un murmure.
— Laisse-moi t’aimer…
La bouche de Michèle se pose au creux du buste de Kristel. Elle couvre de baisers légers tout le pourtour de chaque sein, bécote ...