1. COLLECTION JEUNE – VIEUX. Tout ça à cause d’un poignet plâtré (1/3)


    Datte: 14/03/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... fermée.
    
    • Mais tu es tout nu !
    
    • Tu m’as assez vu étant petit, j’ai un problème avec ce plâtre et une seule main, il est impossible de me laver le bras en l’air.
    
    • Chez toi, quelqu’un t’aide !
    
    • Oui, maman.
    
    À trente ans, dix de moins que ma sœur, j’ai vu des choses, car je suis bi-sexuelle, mais des engins de cette taille, surtout au repos, c’est incroyable.
    
    • Peux-tu me décalotter que je me lave comme il faut, lorsque j’étais petit garçon, elle m’a appris à bien sortir mon gland pour bien me nettoyer.
    
    C’est dit si simplement qu’à aucun moment l’idée que Gratien ait des idées cachées malsaines me vient à l’esprit.
    
    Je sais bien qu’un garçon à moins qu’il ait été circoncis doit se décalotter pour enlever la purée qui pourrait si accumuler.
    
    Ma sœur a appris l’hygiène à son fils et c’est une bonne chose.
    
    Je le prends en main et je tire avec mon autre main.
    
    Ce qui arrive est presque instantané.
    
    • Mais tu commences à bander, tu devrais avoir honte, je suis ta tante !
    
    • Ta main est si douce marraine.
    
    C’est dit de façon si puérile qu’à aucun moment l’idée qu’il essaye de me piéger me traverse l’esprit.
    
    • Arrêt, Gratien, je suis une dame et il est interdit de bander devant une dame.
    
    Est-ce que tu bandes avec la main de ta mère, allez dépêche, lave-toi que je te lâche.
    
    • Avec maman, non, c’est maman, mais avec toi je suis fière de te montrer que je suis un homme.
    
    Comment à un moment cela se fait, je suis dans ...
    ... l’impossibilité de le dire ?
    
    Si, peut être une solution avec Agnès.
    
    Avant qu’il mette le savon, j’avance ma bouche tout en le masturbant.
    
    Son gland est proportionnel à sa verge, j’ai du mal à ce qu’il entre dans ma bouche.
    
    Est-ce possible, moi sa tante, je suce mon filleul avec envie, elle est tellement belle, il est tellement beau et il peut être une solution.
    
    Comment je me retrouve sur mon lit, mon cerveau pourrait le dire, mais moi pas ?
    
    Le brouillard dans ma tête est total, je devrais le repousser même s’il faut le taper pour ça, mais qui de moi ou de lui ôte mes vêtements.
    
    C’est quand j’ouvre mon compas pour qu’il entre en moi que je reviens sur terre.
    
    Hélas, non, quelle chance, il est déjà en moi, bien au fond.
    
    Elle est si longue que je la sens frapper mon utérus.
    
    Mon dieu quel homme, naturellement mes jambes se retrouvent sur ses hanches afin qu’il reste bien fiché en moi.
    
    À ce moment Agnès est bien loin de mes pensées et notre gode ceinture rangée dans la table de nuit.
    
    Gratien cherche ma bouche, je trouve ça indécent et je cherche à lui refuser.
    
    Comme ma chatte si bien remplie et que je sens partir vers des sommets jamais atteints, je finis, elle aussi par lui donner.
    
    Sa langue et ma langue se mélangent, un reste de pudeur familial atteint jusqu’à mon cerveau.
    
    La décharge montante, montante, montante, que les allées et venues dans ma chatte me font céder définitivement.
    
    Je viens de devenir l’amante de mon filleul... 
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