1. La pièce rapportée (4)


    Datte: 14/03/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: AmauryL, Source: Xstory

    ... subjugué par la sensualité brute de sa fille et son impudeur animale, il regardait les mouvements de son bassin sur la queue de son mec, la langue et les doigts de celui-ci sur ses seins. Évidemment il avait la trique, mais il n’avait pas le même sentiment de culpabilité que la veille quand il les avait entendus baiser dans la salle de bain. Il assumait davantage son excitation, en tous cas vis à vis de lui-même et de son épouse.
    
    Laurence était dans un état d’esprit similaire. Voir un jeune couple dans un moment aussi intime était très excitant, quelle que soit sa relation avec ce couple. Et si les jeunes n’avaient pas de pudeur à leur égard, elle n’allait pas en avoir à leur place. Elle se leva de table et regarda son mari.
    
    Lionel connaissait ce regard déterminé. Il comprit immédiatement ce qu’elle voulait. Il recula sa chaise et sortit sa queue raide. Elle s’assit sur lui en s’empalant sur sa bite comme Lilly était empalée sur celle de son homme. Lionel glissa ses mains sous la nuisette de sa femme pour agripper son cul. Par dessus l’épaule de Laurence, il continuait de regarder le corps de sa fille onduler au dessus de ...
    ... celui de son amant.
    
    Lilly releva la tête et détacha ses yeux du visage de son chéri. Elle vit ses parents qui s’accouplaient. Ça la renvoya aux émois qu’elle avait connus quelques années auparavant, quand elle les avait epiés un soir d’été. Elle se souvint de la jalousie teintée d’excitation qu’elle avait ressentie.
    
    Chevauchant sensuellement son amant, ses mains malaxant ses petits lolos, son regard croisa celui de son père. Elle ne détourna pas le regard. Lui non plus. Elle le fixa des yeux sans vergogne en contractant son vagin sur la queue d’Amaury. Sa respiration se fit plus haletante. D’instinct, elle augmenta la vitesse et l’amplitude des mouvements de son bassin. Elle remonta aussi haut qu’elle pouvait, presque à en avoir le gland à l’entrée de son vagin, et se laissa retomber brutalement sur la bite, en écrasant bien sa vulve sur le bas-ventre d’Amaury pour avoir un maximum de queue en elle et de frottement contre son clitoris. Des petits jappements s’échappaient de sa bouche, c’était plus fort qu’elle. Jappements qui se mêlaient aux couinements de sa mère, bientôt suivis des râles des hommes ejaculants en elles. 
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