Les sauvetages de Kevin (5)
Datte: 14/03/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... apprêtée, plus maquillée. Elle a sûrement prévu de sortir après. Nous parlons depuis quelques minutes, elle me questionne toujours dans la même optique. Savoir ce qui me manque, au-delà simplement du sexe. J’ai fini par avouer mon aventure avec Kinga et Sami, ça l’amuse beaucoup. Bertille est intelligente, elle sent que je cache encore quelque chose. J’ai gardé ça pour moi trop longtemps :
— Heum, tu sais, il y avait une stagiaire aide-soignante à la fin de mon séjour.
— Heu, oui, ton ancienne camarade de classe. Tu l’as un peu utilisée pour attiser ma jalousie et obtenir de moi ce que tu voulais.
— Oui, mais... Mais en partie seulement. Ce que je t’ai dit était vrai. Et j’avais voulu faire l’amour avec elle avant de me rabattre sur toi.
— Ah bien merci. J’étais le plan B en somme.
— J’avoue que oui. Mais aucun de nous ne l’a regretté.
— Et donc ?
— Tu vois comment elle était ?
— Pas trop, on n’a jamais eu les mêmes horaires. Je me rappelle juste que mes collègues trouvaient qu’elle bossait bien. Si je me souviens bien, on lui avait fait une carte de bon rétablissement quand elle était malade. Elle te manque ? C’est ça ?
— Oui.
— Tu veux la baiser ?
— Oui, non. Je veux lui faire l’amour, l’embrasser, l’aimer.
— Rappelle-la !
— Je n’ai pas son numéro ! Et impossible de trouver un moyen de la contacter.
Je dévoile à Bertille toutes les démarches que j’ai entreprises. Soudain, il me vient une idée :
— A l’hôpital, ils ont sûrement ...
... son numéro, une adresse.
— Oui, mais je ne peux pas aller demander au service du personnel ce genre d’information.
Mes espoirs s’envolent encore.
— Que voudrais-tu faire avec elle ?
Je déblatère tous mes fantasmes avec Anne-Sophie du plus fleur bleue au plus érotique. Ça me libère d’un poids. A tel point que ma queue pointe le bout de son gland.
— Bertille, je voudrais...
— Tu voudrais quoi ? Me baiser ? Pas question.
— Pourquoi ?
— Parce que ça doit cesser.
— Juste cette fois. De toute façon, je n’ai plus rien à te raconter. Tu n’auras plus de raison de revenir.
Elle semble déçue, malgré son refus, elle aime venir ici. Je la supplie encore un peu et elle accepte de se laisser baiser par moi. Mais nous n’avons plus beaucoup de temps. Bertille soulève simplement sa robe et appuie ses coudes sur mon lit. Elle m’offre sa croupe. Je me place derrière elle. Elle écarte un peu plus les jambes pour me faciliter l’accès. Je frotte mon gland contre sa chatte. Cette salope mouille déjà abondamment. Je l’enfile jusqu’à la garde d’un coup brusque et elle gémit de plaisir et de douleur. Je suis agrippé à ses hanches et la bourre sans ménagement. Bertille s’accroche désespérément à mes draps, elle enfouit son visage dedans pour éviter que tout l’étage ne l’entende. Je la baise comme un fou. Bertille avait dû être excitée par mes fantasmes sur Anne-Sophie, car elle est prête à jouir. Elle se lâche complètement et s’abandonne à son propre plaisir comme je ne l’ai ...