Réveillon
Datte: 04/09/2018,
Catégories:
grp,
copains,
grossexe,
fépilée,
danser,
fête,
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
Partouze / Groupe
jeu,
Humour
totalsexe,
Auteur: Bali balo, Source: Revebebe
... tient par les fesses, elle a pris appui sur ses mains, et il pistonne, il pistonne, comme un bête. Ah, il y va, à grands coups de reins accompagnés de « hans » de bûcheron et de cris de ma belle ! Les couilles battent contre les fesses, on dirait une machine bien réglée. La bête humaine ! Pacific 231, je vous dis ! D’autres ont été alertés par le bruit et nous ont rejoints. On commence à se trouver à l’étroit, mais on a tous le sentiment d’assister à un morceau d’anthologie. Un moment historique ! Plus tard, on pourra fièrement affirmer :
— J’y étais.
Il faudrait être un Audiard pour faire décrire la scène par un Blier ! Un Audiard ou un Victor Hugo. On atteint des sommets. Le coït monumental d’un Alexandre-Benoît Bérurrier et d’une Andrea Ferreol. Les cris montent, se font plus intenses, plus suppliants. Heureusement que le gîte est un peu isolé, autrement les voisins auraient déjà appelé les flics, le SAMU, les pompiers, le GIGN, l’armée de terre peut-être ! Je commence à être vaguement inquiet : ce con, il va la déchirer avec sa bite hors du commun ! Il va la dévaster ! Je pense à la chanson :
— Et que du cul jusqu’au con, ce n’est plus qu’une vaste ornière. Faudrait lui faire une épisiotomie ! Il va finir par lui décrocher l’utérus à force de le pilonner, exploser son vagin. Il va la traverser ! Elle a la tête jetée en arrière, les yeux révulsés, elle hurle rythmiquement en tressautant et lui, il y va, il y va, il y va encore et encore. Et puis, tout à coup, il ...
... se passe quelque chose d’extraordinaire. Enfoncé jusqu’à la garde, Fab marque un temps. Elle a un petit cri. Le temps suspend son vol. Ça nous paraît très long. On voit tous ses fesses crispées. Et puis il sort sa bite, il sort, ça n’en finit pas, on croit qu’il arrête, qu’il cale, qu’il est mort au feu… Et, tout à coup, un grand coup de tout son corps, un spasme énorme accompagné d’un cri bestial et d’une sorte de hurlement de la dame, et un autre, plus déchirant encore, et un autre, et un autre, suivi d’autres, décroissants et plus espacés.
Un silence… et puis un tonnerre d’applaudissements. Il y a même un plaisantin sacrilège qui a demandé :
— Bis !
Sylvie est complètement affalée sur la table, le dos appuyé au mur, la tête tombante… Julie, qui connaît bien ce qui vient de lui arriver, lui tapote dans les mains, et lui fait une irrigation vaginale d’eau fraîche, passe doucement des onguents calmants sur son con ravagé. Elle a même posé un ventilateur entre ses cuisses écartées pour apaiser la surchauffe…
Fab a fendu la foule en délire pour trouver un siège. On lui a tendu une serviette, on lui a essuyé le visage. Il est assis dans un coin de la pièce, la serviette sur les épaules. Il n’est pas encore revenu, le Fab, il est encore dans son trip. Les autres filles se bousculent auprès de lui pour voir de près ce chibre capable d’un pareil exploit. Certaines tentent de le prendre en bouche pour en exprimer la dernière goutte. D’autres le touchent respectueusement, ...