Fantasma Ou comment je sublime le quotidien dans mes rêverie
Datte: 12/03/2023,
Catégories:
f,
h,
fh,
fhh,
extracon,
cocus,
candaul,
voisins,
copains,
vengeance,
cérébral,
revede,
Masturbation
caresses,
intermast,
facial,
Oral
double,
Partouze / Groupe
init,
Auteur: Bronze, Source: Revebebe
... tombai dans le piège. Son cul m’excitait et sans aucune retenue je le lui dis. Je voulus la prendre là sur place directement. Lui arracher sa culotte et enfourner ma queue ivre et molle dans ses rondeurs. Par pudeur et par peur de se faire découvrir par les autres voisins ou par son mari, elle refusa de se donner selon mon désir et préféra m’emmener à l’écart et de parler de notre amour l’un pour l’autre et de la vie du quotidien. Ce fut ma chance, comprenant que je ne la « tirerais » pas ce soir-là, je l’abandonnai au bout d’un certain temps et de plusieurs tentatives infructueuses. Joute d’adolescents, elle se montrait lascive, mais intouchable alors que moi je l’entreprenais de manière grossière et goujate. Elle ne voulait pas ma queue, mais mon âme. Elle me conviait aux mensonges, aux secrets et à l’exclusivité alors que je cherchais leurs opposés. Elle n’aura ni l’un ni l’autre.
Je mis plusieurs jours à te révéler ce non-événement. Ce fut une erreur ou un coup du démon. Le soir où je t’en parlais, tu pris l’histoire assez légèrement, un peu de vin avait aidé à me donner la force de te le dire et avait endormi la tigresse qui veillait en toi. Le matin fut plus houleux. Tu fouillas mes mails et tombas sur les quelques mots échangés avec la voisine le lendemain de la fête. La dernière phrase qui m’était destinée était un coup de couteau : « j’ai déjà envie de te revoir ». À laquelle j’avais répondu par un laconique « aïe ».
La douleur réveilla le fauve et j’en pris ...
... pour mon grade. Le non-événement en devenait un. Ce n’était pas le fait d’avoir flirté avec une autre qui te blessait, mais que ce soit avec une voisine, amie de surcroît à laquelle tu accordais ta rare confiance. Qu’elle cherche à me mettre le grappin dessus derrière ton dos était une trahison, la preuve en était la difficulté que j’avais eue à te la raconter. Je te présentai mes plus sincères excuses et de te rassurer de mon amour univoque. Tu me haïs tout comme te dégoûtaient la voisine et ses faux semblants, ce que tu lui fis comprendre par un mail assassin. La crise aurait pu continuer si tu n’étais pas qui tu es, bonne et positive.
Le soir, sur l’oreiller, tu voulus tout savoir, de mes sentiments à la forme que prirent mes assauts pour tenter de dévergonder la voisine. Comment étaient ses fesses, ses seins, ses cheveux ? J’accomplis toutes tes requêtes en les accompagnant de gestes et de caresses mimant ceux que j’avais eus lors de cette soirée. Ce jeu finit par t’exciter et plantant ton cul contre ma verge, tu me demandas de te m’introduire en toi tout en continuant à t’expliquer la suite. Nous avions échangé nos rôles, tu découvrais le plaisir qui me hantait depuis de nombreuses nuits, cette troublante chaleur de jouir en imaginant son amour dans les bras d’un autre. Bien que tu ne me l’aies jamais avoué, je sentis ce nouveau plaisir grandir en toi alors que montait ta jouissance. Je perçus dans tes silences la recherche du phantasme, la joie du trouble. Ce que je ne ...