Changement de vie. (2)
Datte: 11/03/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Blueberry89, Source: Xstory
... exquise. Margaux aspire le sexe entre ses lèvres et le fait coulisser, jouant de sa langue sur toute sa longueur. Benjamin la laisse faire un moment puis, trop enivré par le plaisir, il se met à lui donner le rythme, plongeant dans sa bouche tandis que ses joues se creusent sous l’effet de la succion. Il explose en la maintenant contre lui, bien ancré au fond de sa gorge comme il lui a appris ces dernières semaines. Si au début, elle rechignait à la tâche, dorénavant, elle avale sa semence avec délectation et le surprend même en le réveillant ainsi certaines nuits.
Benjamin, comblé, laisse sa douce se relever et l’embrasse avec passion.
— À mon tour ou tu préfères faire ça là bas ?
— Tu veux dire chez ma mère ?
— On l’a bien fait chez la mienne !
— Allez ! Soyons fous ! rit-elle
Au domicile parental, le repas de famille est d’un ennui profond. Le malaise est palpable entre les deux sœurs mais les parents semblent faire comme si de rien n’était. L’oncle Maurice et la cousine Séverine sont aussi de la partie et les conversations fusent et se confondent, aucun ne portant un quelconque intérêt à ce que disent les autres. Assise en face de Louna, Margaux serre les poings chaque fois que sa chère petite sœur coule une oeillade à un Benjamin indifférent. Ce dernier pose sa main sur la cuisse de Margaux qui sursaute un peu, attirant l’attention de Marc et Louna. La main cavale et continue, jusqu’à atteindre le triangle déjà humide et y glisse son majeur pour venir ...
... titiller le clitoris.
Margaux essaie de rester stoïque mais le plaisir gronde en elle. Elle commence à avoir chaud, ses joues doivent être rouges écarlates. Et si ses parents voient ce qui se trame sous la table ? Louna ne dit rien mais la jalousie luit dans son regard. Marc est de plus en plus rouge, la situation a l’air de l’exciter. En plus du plaisir des doigts de Benjamin qui la font trembler de désir, Margaux a aussi cette satisfaction si intense qui la submerge. Pas besoin de plus les torturer, elle a vu ce qu’elle voulait. Ils ont compris qu’elle n’est plus la pauvre grande sœur insipide qu’ils ont face à eux mais une nouvelle Margaux, plus sûre d’elle, plus déterminée, plus femme.
Elle prend alors la main de son homme et se lève en l’invitant à l’accompagner.
— Viens Ben, je vais te montrer ma chambre de gosse.
— Avec plaisir ça ne se refuse pas. Il y a des poster de Billy Crawford aux murs ?
— Avance plaisantin.
Ils montent les marches en riant, s’embrassent en se cognant dans toutes les portes avant de finir dans la bonne pièce. La chambre de son enfance n’a pas beaucoup changé. Toujours les même poster de Greenpeace et Amnesty International, souvenirs d’une époque où elle était engagée. D’ailleurs c’est pour ça qu’elle était devenue infirmière, pour aider les autres.
Mais l’heure n’est pas au souvenirs, plutôt à celle de cet homme si splendide qui l’enlace et l’embrasse comme s’il voulait la dévorer.
— Prends-moi Ben. Fais-moi crier, je veux ...