1. J'aime le voir... (12)


    Datte: 11/03/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: caribonex, Source: Xstory

    ... bien plus crus...
    
    Laurane qui se déchaîne a maintenant repoussé son complice et embouché seule le sexe tendu, l’engloutissant sur toute sa longueur avec un air extatique qui me rend toute chose. Pendant que j’embrasse Sabrina, je sens une langue agile me titiller le clito et reconnais le savoir-faire de mon mec (en même temps, Laurane a la bouche pleine alors je ne risquais pas de me tromper !)
    
    La tension monte, l’atmosphère se réchauffe et les effets du punch se font sentir à pleine dose. Les corps se mêlent, bougent, c’est un peu confus. Je me retrouve ensuite à sucer Sabrina, pendant que Laurane me caresse et que lui me fait une délicieuse feuille de rose qui manque m’emporter au septième ciel. Puis c’est avec mon homme que je suce la délicieuse verge de notre amie pendant qu’elle lèche la petite chatte de Laurane. Du canapé, nous avons depuis longtemps glissé sur le tapis et je me dis entre deux gémissements que j’ai bien fait de tout pousser pour nous laisser le champ libre.
    
    J’ai soif et je rebois encore un verre, encouragée par mon mec qui me regarde tendrement... Ou vicieusement, je ne sais plus trop, j’ai la tête qui tourne et un peu de mal à tout organiser. Je ne pensais pas avoir dosé le punch à ce point pourtant !
    
    Et puis je me retrouve manipulée puis allongée, un épais coussin sous le ventre, et je vois des sexes se succéder dans ma bouche, des vrais, un faux je ne sais plus, je suce c’est tout, je suis comme prise dans une frénésie, encouragée par ...
    ... des mots dont je ne sais plus qui les prononce
    
    — Allez suce-moi.
    
    — Vas-y bouffe=lui les couilles.
    
    — Oh aspire ma chérie.
    
    — Crache sur sa queue salope ; fais ta chienne.
    
    Je me surprends doucement à aimer ça, à être celle qui écoute, qui obéit. Je ne suis plus qu’une langue, plus qu’une bouche. Je coule, je coule comme ce n’est pas permis et puis je sens qu’on écarte le coussin, qu’on se glisse sous moi, je sens des seins sur ma peau et leur grosseur me fait penser que c’est Laurane qui me pénètre avec son gode-ceinture. Je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit que je sens qu’un sexe plus fin venir me prendre le petit trou. Wouaah, les filles me prennent en double et c’est délicieux. Je sens le vrai et le faux coulisser à travers la fine paroi de chair et la vague qui monte encore et encore.
    
    Les gémissements, les mots m’aident à grimper, je me sens chienne, je me sens salope et je réalise d’un coup que c’est ce qu’elles me disent et surtout que c’est ainsi qu’elles me traitent.
    
    Elles y vont de bon cœur, dans un délire physique et verbal, à grands coups de reins, à grands coups de mots.
    
    — Tiens prends ça salope !
    
    — Oh comme je te bourre ton cul ma chérie.
    
    Et la voix de mon mec par dessus qui les encourage :
    
    — Allez défoncez-la mes chéries, bourrez-la fort.
    
    Une petite voix me dit que je dois reprendre le contrôle, que c’est moi qui ai tout mis en place que je suis la dominante et j’ouvre la bouche pour parler.
    
    Mais je n’ai pas le temps de ...