1. Cadeau de départ...


    Datte: 11/03/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... Puis il enfila son short et dit :
    
    -Je pense que je vais entrer.
    
    -Oui, répondis-je, je vais en faire de même.
    
    Le lendemain je trouvais Maria toute seule au bas de son bâtiment.
    
    -Et Manu ? Lui fis-je après l’avoir embrassé.
    
    -Il dormait quand j’ai quitté l’appart.
    
    -J’aimerai bien avant ton départ que tu me fasses un petit cadeau.
    
    -Ah oui ! Et lequel ?
    
    -Que tu pisses de nouveau devant moi.
    
    - C’est dégueulasse. Fit Maria, dégoûtée, mais résignée à tout.
    
    - On s’en fout. Après on se verra plus.
    
    Sans attendre sa réponse je la saisis par le bras et l’attirai jusqu’à ma garçonnière. J’avais eu un pincement au cœur en passant devant la cave où Manu et moi avions pris notre pied.
    
    Je me couchais sur le sommier en mailles. Sur le dos. Les jambes tremblantes d’impatience, et demanda à Marie de s’exécuter. Elle me chevaucha alors, accroupie en canard.
    
    Je vis la fente rouge bâiller devant mon visage. J’étais cramoisi d’excitation. C’était la première fois que je voyais une chatte de si près, par-dessous. Un spectacle inoubliable ! Et que dire quand elle s’abaissa en un semi-accroupissement, l’anus mauve s’évasa devant mon visage. Son bassin était si proche que je pouvais respirer toutes ses odeurs échauffées de son intimité.
    
    Elle fut prise d’un blocage. Trop gênée pour se laisser aller. N’osant pas me pisser à la figure. Alors j’attendais patiemment qu’elle veuille ...
    ... bien s’exécuter, l’aidant en l’encourageant. Lui exposant mon besoin de me faire souiller par la pisse d’une femme. Presque aussitôt, des gouttes chaudes tombèrent sur mes lèvres, avant qu’à nouveau Maria se bloque. J’en profitais pour lécher les quelques gouttes salées, et comme toujours sans être plus écœuré que ça. Ça avait un goût acidulé, comme celui d’un jus de pommes vertes. Une nouveau encouragement la rappela sur le droit chemin. Mais aussi à l’obéissance. Elle eut un rire hystérique et lâcha les vannes. Je m’abandonnais sous la douche tiède en serrant ma pine à travers mon short. Le débit était trop puissant pour que je puisse tout boire. La source giclait sur ma bouche, coulait dans ma nuque me faisant frissonner d’excitation, au point de me faire gicler dans mon slip et cela alors que Maria se vidangeait.
    
    Le lendemain, avec l’aide de Manu, on l’obligea à faire dans sa culotte. La forçant à le faire debout, devant nous. Elle mouilla comme souhaiter sa culotte, mais aussi sa robe, ses socquettes et ses sandales.
    
    Elle resta au soleil, jusqu’à ce que ses vêtement sèchent naturellement sur elle. L’odeur de pipi qui se dégager d’elle m’excita. Au point de me branler. Ce que fit de son côté Manu.
    
    Maria était incapable de résister. On pouvait l’obliger à tout faire. Plus l’exigence était avilissante, plus elle prenait de plaisir à se soumettre et cela jusqu’à la fin de son séjour… 
«1234»