1. Petra se donne (1)


    Datte: 10/03/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory

    ... n’imaginais pas un instant ce qui allait suivre. De premier à voir j’allais me retrouver dernier à agir.
    
    Le gros poilu devait être assez vieux car de ses oreilles sortaient deux considérables touffes de poils blancs. Tandis que je les admirais sa tête pivota vers la fille et à partir de là, il ne la quitta plus des yeux. Bientôt Moustache posa son portable et en fit de même puis se fut au tour de Rouquin. Ceux qui étaient devant elle se retournèrent et rapidement, les quinze gars braquaient leurs regards sur la jeune fille aux jambes écartées. L’insistance avec laquelle ils la mataient, presque sans ciller m’apparut aussi étrange que l’indifférence qui l’avait précédée. Pendant un moment, moi seul bougeais la tête en tout sens, comme on le fait au ciné parfois pour observer les autres spectateurs hypnotisés par l’écran.
    
    Enfin Poilu se leva, s’approcha de la fille et resta debout près d’elle, son énorme ventre pendant sur un slip de bain ridiculement petit. La fille tourna la tête vers lui sans rien changer à sa position.
    
    Le type s’assit tout près d’elle et après avoir un moment jeté son regard au loin, vers l’horizon diffus, confondu avec le ciel grisâtre, reporta son attention sur le fille qu’il détailla des pieds à la tête, plusieurs fois d’affilé avant de poser une paluche sur une des frêles épaules.
    
    J’attendais ce contact tout en me refusant à la possibilité de sa survenu. Mais il arriva et la jeune fille, non seulement ne fit rien pour l’en empêcher, mais ...
    ... souleva légèrement le cul et écarta les jambes de quelques degrés de plus dans un mouvement discret mais sensible. La main glissa jusqu’au creux des reins et remonta une ou deux fois en haut du dos avant de se décider à plonger une dernière fois et se hisser sur une des parfaites fesses de la fille et d’y stationner. Dans l’air flottait son parfum, une effluve légèrement sucrée qui tous les jours sur la plage me parvenait par intermittence au milieu d’une multitude d’autres odeurs absolument inintéressantes, le parfum de la beauté interdite. Ce même parfum, porté par une brise, m’enveloppait tandis que je contemplais la main boudinée d’un vieil obèse poilu commençant à pétrir le cul tant convoité. Les gros doigts pleins de bagues étiraient maintenant la chair élastique, déformant le point d’exclamation inversé, dévoilant l’intérieur par intermittences.
    
    A ce moment-là, je ne différais plus de la masse des autres hommes présents, aussi captivé qu’eux par le spectacle. Je m’en détachai un instant pour jeter un œil vers le chemin d’où les vacanciers accédaient d’ordinaire à la plage, surpris, même si l’heure matinale et de la fraîcheur de l’air avaient un fort pouvoir dissuasif, qu’il n’y ait pas plus de monde. Il n’avait pas fallu plus de temps à Poilu pour faire disparaître une de ses phalanges dans le minuscule trou du cul de la fille. Il l’y maintint d’abord immobile puis l’y agita de manière obscène, serrant les autres doigts comme pour faire un doigt d’honneur. Quand il le ...
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