Thérapie familiale (42) - Histoires de Sexe

Thérapie familiale (42)

... qui doit en toute logique rester nu en permanence, pour la bonne raison qu’il est le seul des bergers a ne pas avoir de pensionnaire.

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Une fois qu’il a replié son plan et posé les lunettes d’approche dessus, Damien demande à Jade :

― Il est encore tôt, tu n’as pas envie qu’on tire un petit coup avant de redescendre ma Petite Belette ?

Cette expression désuète qu’elle a néanmoins parfaitement comprise fait sourire la jeune femme, et en guise de réponse elle va se mettre à quatre pattes sur une plaque d’herbe. Pas entièrement satisfait son grand-oncle lui pose une autre question :

― Tu n’as pas plutôt envie d’essayer la position du missionnaire, au moins une fois dans ta vie ?

Sentant sous ses mains ainsi que sous ses genoux la végétation rêche qui n’a pas été arrosée depuis longtemps, elle réplique :

― Si bien sûr, pendant ma nuit de noces. Mais là j’ai pas trop envie de me faire grafigner le dos...

Si le vieil homme est déçu que sa proposition soit refusée il n’en laisse rien paraître, il est au contraire amusé par la répartie de sa petite-nièce, et il lui dit :

― Dans ce cas pousse-toi, car c’est moi qui vais m’y coller vu que je ne suis pas une petite nature. Ainsi tu pourras me chevaucher en amazone, mais avant on va se faire un 69 histoire de nous mettre en conditions.

Sans hésiter il s’allonge sur l’herbe, et Jade qui s’est déplacée pour lui laisser la place tout en restant à quatre pattes, vient se mettre sur lui en faisant attention de ...

... ne pas lui faire mal. Une fois qu’elle est en position elle abaisse son bassin, de manière à ce que sa vulve vienne à portée de la langue de son grand-oncle, car elle se doute que vu son âge il doit manquer de souplesse, puis elle commence à donner des coups de langue sur sa verge encore flasque.

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Le sexe de Damien ne tarde pas à prendre du volume sous les attentions de Jade, qui sent en même temps une douce chaleur s’insinuer dans son bas-ventre, cette dernière gagnant lentement en intensité puisque son grand-oncle est en train de lui rendre la politesse. Le membre étant à présent bien raide elle continue à le lécher, prenant de temps en temps son gland en bouche pour le téter, et elle constate satisfaite que les muscles de sa mâchoire ayant pas mal travaillé depuis trois jours, elle y arrive sans avoir besoin de forcer. Pendant ce temps elle a commencé à produire de la mouille, puisque son plaisir augmente au moins autant que celui que son partenaire doit éprouver.

C’est pourquoi Belette après avoir s’être mise à pousser des soupirs de contentement de plus en plus profonds, émet à présent des petits geignements qui ne sont pas sans rappeler ceux des chiots un peu plus tôt. Au moment où le vieil homme comprend que la jeune femme est prête, il lui dit en ponctuant ses mots de petites claques sur ses fesses juvéniles :

― Bon, à présent pour me montrer que tu es la digne fille de Renarde mais aussi la petite-fille de Brebis, tu vas t’empaler sur ma queue et me vider ...