Retour de Bâton (1) - Histoires de Sexe

Retour de Bâton (1)

... d’avant en arrière de plus en plus rapidement. L’ arrive. Il le sent et en profite pour accélérer ses mouvements de langue et m’introduire son doigt épais et long dans mon couloir intime. Il se met à me masser le point G, et au bout d’un moment indéfinissable, il déclenche en moi une jouissance inouïe. Je me cambre tellement que seuls mes fesses, mes mains et l’arrière de mon crâne sont encore en contact avec la table. Il lâche mon petit bouton d’amour, mais continue ses va-et-vient rapides dans mon ventre avec son doigt. Je continue de jouir très fort. Mes jambes toujours dans le vide se mettent à trembler. Cela dure quinze, trente, peut-être soixante secondes avant que je ne relâche toute cette tension accumulée dans mon corps qui s’allonge à nouveau sur la table, excepté mes jambes toujours pendantes. Il retire son doigt de mon antre, lentement.

Je reprends mon souffle tandis que je le vois dégrafer son pantalon.

Ma toison trempée est maintenant blond foncé.

Il éjecte ses chaussures avant de se baisser pour se défaire de son jean, et de son caleçon. Puis, il se redresse.

Il m’avait semblé bien monté, mais j’avais largement sous-estimé la chose. Son bâton est assez long, mais rien d’extraordinaire. Par contre, la circonférence est impressionnante. Il doit falloir mes deux mains pour en faire le tour, ou presque. En tout cas, c’est gros. Je suis impressionnée, intimidée et intriguée, tout à la fois. Cet engin va-t-il me faire mal ou me faire jouir ?

Même ...

... ses couilles sont grosses. En fait, elles sont proportionnées à ce membre érigé à la verticale et bien droit.

Jérôme se rapproche à nouveau de moi jusqu’à plaquer son sexe contre mes lèvres trempées. Il attrape mes deux seins de ses grandes mains musclées, les malaxe tout en frottant son membre turgescent sur ma vulve en feu.

Délaissant mes seins, il attrape mes jambes dans les plis des genoux et les relève, puis il se saisit fermement de mes chevilles et continue à me lever les jambes. Mes talons aiguilles visent maintenant le plafond. Il m’écarte, je sens que l’entrée de ma grotte est légèrement ouverte, il y appuie son gland. Le moment de vérité est arrivé.

S’aidant d’une main, il aligne son engin avec mon vagin. Progressivement, poussant avec ses reins, il entre en moi. Je sens les parois internes de mon sexe s’écarter tout en enserrant fort ce bâton gros et dur. J’ai un peu mal.

Il entreprend un lent va-et-vient, et à chaque fois qu’il vient à moi, il s’enfonce un peu plus loin.

Mon sexe recommence à produire le lubrifiant d’amour, il accélère petit à petit les mouvements de son piston dans ma chemise.

Je n’ai plus mal. Il coulisse bien. Il me remplit complètement, et c’est bon.

Ses allers et retours sont maintenant assez rapides, mais très réguliers. A chaque cycle, ses couilles me claquent les fesses et son gland cogne le fond de mon utérus.

Il ne ralentit ni n’accélère, mais je sens la pression de ses mains sur mes chevilles augmenter.

Il ...