1. Mon frère me dévergonde (1)


    Datte: 08/03/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory

    ... pourrais me faire baiser sans problème par tous les mecs de la fac.
    
    « Bien... Tu as ma bite enfoncée en toi, alors ne reste pas bêtement immobile. Remue du bassin, je veux sentir ma bite coulisser en toi... et n’oublie pas de te montrer expressive. »
    
    J’avais un peu mal à cause de mon dépucelage, mais mon petit abricot était tellement chaud et juteux après tout ce que j’avais accompli ce matin que j’oubliais vite le petit désagrément pour m’agiter sur son chibre. Ses mains se posent sur mes gros seins et se mettent à les peloter. Je sens au frétillement de sa bite qu’il aime ça, jouer avec mes nichons. Il ne s’arrête pas là, avec sa bouche, il suce un de mes tétons, ce qui me fait glapir de plaisir. En même temps, sa queue raide et épaisse frotte contre les parois de ma crevasse d’amour, c’est un délice.
    
    Son chibre est si gros qu’il me remplit tout le bas-ventre. Mon nectar se ruisselle tout autour de son membre. Je jouis en criant comme une folle ! Je ne pensais pas que faire l’amour pouvait être si bon... Comme je regrettais qu’il ne m’ait pas baisée avant !
    
    Lui n’a pas joui. Mais il est décidé à prendre les choses en main. Il se lève en m’écartant gentiment et se place derrière moi.
    
    « Pour aujourd’hui, je vais laisser ton petit trou tranquille, mais je vais te prendre en levrette, c’est une position qu’il est fondamental que tu maîtrises. »
    
    J’appréhende ce moment, mais à la place de sa queue, c’est sa langue que je sens sur mes petites lèvres gonflées, il ...
    ... lèche ma mouille qui coule avec abondance.
    
    « Oh c’est si bon, mange-moi ! »
    
    Mon frère me dévore le minou, c’est si excitant... Jamais je ne pensais connaître un plaisir aussi intense, sauf qu’une extase encore plus délicieuse arrive juste après quand sa bite longue et massive s’enfonce dans ma chatte. Mon cœur bat plus fort que quand je pique un sprint, sauf que là ce n’est pas de la douleur que je ressens, mais du bonheur à l’état pur. Il me donne encore des consignes.
    
    « Lève le cul plus haut, cambre-toi. »
    
    Sans hésiter un instant, j’obéis. Je veux tellement lui faire plaire, qu’il soit fier de sa petite sœur. Qu’il puisse dire que me baiser était super, que je suis une vraie salope. Ses mains sont sur mes hanches, me tenant fermement alors que sa bite me martèle tel un marteau-piqueur. Je crie sans m’en rendre compte, et il me félicite pour ça. Alors je n’hésite plus, je hurle les pires insanités qui n’aient jamais été dites dans la maison familiale.
    
    « Baise-moi fort, fourre-moi comme la pire des traînées ! Je veux que tu me baises mieux que tu as baisé toutes tes autres copines ! »
    
    Mes paroles produisent un effet immédiat, il redouble d’ardeur, pourfend mon petit minou dépucelé quelque minutes plus tôt. Il me défonce comme si c’était le trou d’une de ces pétasses qu’il baise dans sa chambre d’étudiant.
    
    « Vas-y, je suis ta pute, ta chienne ! enfonce-moi ton gros chibre.
    
    — Oui ! Salope de pute de sœur ! Je savais que t’étais une traînée, tu vas payer ...