De cocu ennuyeux à Sissy épanouie... (4)
Datte: 07/03/2023,
Catégories:
Transexuels
Auteur: BrusselX, Source: Xstory
... petite, tu seras ma poupée grandeur nature ! Et je suis sûre qu’un jour, ce sera toi qui demanderas à sortir travesti !
— Ouais, ben ça, ça m’étonnerait...
Elle me fit un clin d’œil complice, histoire de dire « on verra... » Arrivés à la caisse, je regardais l’employée, qui avait de longs cheveux blonds cascadant sur ses épaules, un bronzage non naturel, une poitrine gonflée et mise en valeur, lèvre gonflée et colorée d’un rouge cerise, de faux-cils, de faux-ongles rouges de la même couleur que ses lèvres et longs de 5 centimètres, la Bimbo quoi ! Mais pourquoi ressentais-je une pointe de jalousie en la regardant ??? Elle scannait les codes-barres sur nos achats, puis s’arrêta en plein milieu de son travail, regardant Julie...
— Madame, j’ai l’impression que vous n’avez pas acheté la bonne taille. Tous ces articles seront trop grands pour vous, j’ai l’impression. Avez-vous besoin de l’aide d’une de nos conseillères ? Je m’en voudrais de vous vendre des articles qui ne vous iraient pas...
— Non, non, il n’y a pas de problème ! Ce n’est pas pour moi, c’est pour mon mari !
Julie le dit d’une voix assurée. Et forte. L’employée resta quelques secondes la bouche entrouverte, le temps que l’idée percole jusqu’à son cerveau. Puis me lança un de ces regards dédaigneux, avant de continuer à scanner les articles. Deux autres dames, dans les files à côté de nous, me regardaient comme si j’étais un alien, tandis que le monsieur derrière nous me regardait d’un air ...
... goguenard. J’étais rouge dans le visage, honteux, n’ayant qu’une envie : que le sol s’ouvre sous mes pieds pour m’avaler, et me cacher de ces regards. Julie souriait, jubilant de mon humiliation. L’employée avait terminé d’empaqueter nos achats.
— Voilà Mesdames, ça fera 486€, par carte ou en liquide ?
Elle appuya méchamment sur le « mesdames », me regardant droit dans les yeux. Je sortis ma carte de banque, essayant de garder mes moyens, alors que je faisais mon code, elle me murmura...
— Surtout, ne vous cassez pas un ongle en faisant votre code !
Quelle salope ! Je pris les paquets et sortis en trombe du magasin, sous les regards amusés ou dégoutés de ceux qui avaient tout entendu. Julie prit ma main dans la sienne.
— Bienvenue dans le monde impitoyable des femmes, ma chérie !
Elle avait un sourire goguenard aux lèvres, et j’avoue que je boudais un peu...
— Ah, ah, ah, très drôle. On rentre maintenant ?
— Pas encore, on doit juste trouver un dernier magasin...
Elle m’amena au dernier étage du centre commercial, où il y avait quelques fast-foods, un cinéma, et tout au fond de l’allée la moins fréquentée du centre commercial, après deux magasins en travaux, un sex-shop. Vers lequel elle m’emmena. Je n’osais pas lui dire non, mais j’étais plus que mal à l’aise !
Nous entrâmes dans le magasin, où une fille avec de longs cheveux noirs, habillée mode gothique, avec beaucoup de tatouages, et une poitrine tout aussi impressionnante que la blonde du magasin de ...