1. Cueillie et Croquée


    Datte: 04/03/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... nudité totale et sa posture vulnérable, c'était ses tatouages... Un sur chaque fesse, et un autre dans le bas de son dos. Ils avaient été réalisés à l'aide d'une encre rouge intense et opaque. Celui dans le bas de son dos représentait une femme nue enchaînée à quatre pattes, léchant le pied botté d'une dominatrice dont on ne voyait que la jambe couverte de cuir et son long fouet. L'image était entourée en demi-cercle par les mots : «Je suis une salope d'esclave lesbienne »... le tatouage sur la fesse droite disait «Baisez-moi », et celui sur la fesse gauche «Prête pour une fessée ». Qui pourrait résister à une offre aussi effrontée ? Jackie glissa tendrement son doigt sur les tatouages, se rappelant à quel point ç'avait été épatant de les caser à ces endroits - peut-être que Cindy n'avait pas le même avis :
    
    D'une, elle avait abondamment pleuré et supplié pour ne pas les avoir. Elle avait paru complètement humiliée en entendant ce qui serait définitivement imprimé sur son corps dans la fleur de l'âge. De deux, elles avaient requis les services d'un tatoueur infect situé dans un coin miteux de Brooklyn, près de l'atelier de tuning de Liz. Le gras du bide de 130 kilos avait accepté pour paiement les faveurs sexuelles de Cindy pour un jour entier - elles avaient des cassettes de ça aussi, mais c'était assez décevant, le gros porc n'avait pas pu faire grand-chose d'autre que de laisser la fille le chevaucher pendant des heures non-stop, ce qui n'avait pas empêché la petite ...
    ... esclave d'en être tout autant dégoûtée et humiliée...
    
    Jackie pouvait voir de légères zébrures sur les tatouages, résultant de la punition que Cindy avait reçue quelques jours plus tôt. Quoi de plus normal ? Punir une esclave est la prérogative d'une Maîtresse. Cindy était une esclave, et elle n'existait que pour fournir un divertissement et du plaisir à Jackie et ses amies. Souvent, ce divertissement se concrétisait en la baisant de toutes les façons possibles. D'autres fois, Jackie prenait son pied en punissant et humiliant la petite salope... cela dépendait de son humeur... Et en ce moment, elle voulait entendre hurler cette salope sous ses coups de cravache... Jackie saisit le bâillon habituel - c'était un bâillon à corde qui étouffait les braillements de la petite morveuse sans la rendre totalement silencieuse. Jackie adorait entendre Cindy crier alors qu'elle endurait une punition bien méritée, même s'il est vrai que la place d'une esclave aurait plutôt été dans un bon vieux donjon bien profond et pas au 25e étage d'un immeuble résidentiel luxueux.
    
    Car si Jackie se délectait de faire hurler Cindy, elle n'avait aucune envie que les voisins viennent cogner à la porte. Alors pour le moment, elle devait se contenter d'entendre des cris étouffés... elle choisit sa cravache favorite - un instrument en cuir noir fin et effilé. C'était le choix parfait pour arracher de douloureux cris de soumission à son esclave ; dommage qu'elle ne laisse que des scarifications mineures... ...
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