1. Maman, Merci! (1)


    Datte: 03/03/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: thevert76, Source: Xstory

    ... lourds, les fenêtres s’ouvrent, les volets aussi, effectivement la lueur du jour est bien pâle et je reconnais la silhouette de ma mère dans l’encadrement de la fenêtre qu’elle est en train de refermer, en tirant les rideaux.
    
    — Y a pas de crêpes ce matin ? Lançais-je pour détendre l’atmosphère.
    
    Je sentais soudain qu’elle s’était assise sur mon lit.
    
    — Je veux voir ta bite !
    
    Aussitôt elle tira les draps.
    
    — Je peux la toucher ?
    
    Sans attendre ma réponse elle commençait à la branler avec une main, puis dès que ma queue eut atteint une bonne taille, elle continua son travail avec les deux mains. Une me caressait les couilles pendant que l’autre s’occupait de lustrer mon gland avec le liquide préséminal qui sortait dû à mon état d’excitation. Elle appelait ça des "perles". (Peut-être à tort parce que le terme ne semble pas approprié). Elle reste concentrée sur sa besogne sans me regarder dans les yeux. Mon gland fut vite totalement humide et luisant. Elle finit par me regarder et dit :
    
    — Je peux la sucer ?
    
    Je pris ma bite dans une main et le derrière de sa tête dans l’autre et lui enfonçai dans la bouche.
    
    — Je ne suis pas une pute, doucement !
    
    — Tu suces ton propre fils pour goûter à sa première éjaculation, tu appelles ça comment toi ?!
    
    — Oui, je veux y goûter depuis une semaine, je perds la tête. Ça doit être si bon !
    
    Elle se jeta dessus comme une morte de faim, pressant mes couilles pour enfoncer ma verge au plus profond de sa gorge, elle ...
    ... s’en étouffait même cette salope. Je m’amusai donc à l’attraper par les cheveux pour la retirer de ma bite, elle reprit son souffle et je lui enfournai de nouveau ! Elle émettait des bruits rauques et commençait à se caresser en mettant la main dans son jeans. J’aimais voir ces lèvres charnues engloutir le phallus. Et je décidais de la laisser faire, ces va-et-vient étaient à chaque fois différents. Parfois appuyés et profonds, parfois juste avec la langue, tantôt accompagnés de sa main, tantôt en succion, elle me regardait dans les yeux sans doute pour voir ce qui me procurait le plus d’effets. Elle lâcha le braquemart tendu et élastique qui vint taper contre mes abdos, elle se leva, retira la main de son jeans, le déboutonna et le fit glisser le long de ses jambes, elle monta en culotte sur le lit et prit une position plus confortable.
    
    — On regarde mais on ne touche pas ! Sinon je te broie les couilles, et je m’en vais ! Me dit-elle d’un ton décidé.
    
    Elle monta à califourchon sur moi m’exposant son boxer rouge, humide et odorant et continuait de me pomper de plus belle ! A défaut de toucher je faisais des mouvements de bassin pour lui donner le rythme, je m’amusais même quelques fois à lui donner une série de grands à-coups profonds comme pour lui baiser la bouche.
    
    Malgré nos efforts, rien ne sortait à part des perles qu’elle aimait aller chercher du bout de la langue dans mon urètre puis en aspirant le reste depuis l’extrémité du conduit. Elle gémissait à chaque fois ...