Valentine Challenge: les collègues (2)
Datte: 02/03/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: airdepanache, Source: Xstory
Finalement, c’était plutôt une bonne soirée.
On était le soir de la St-Valentin, et j’avais planifié une sortie amicale dans un club de jazz avec ma collègue de bureau, la ravissante Tchèque Milada. Mais tout était tombé à l’eau quand notre boîte nous avait demandé de bosser toute la nuit sur un dossier de certification, avec une vidéoconférence avec Hong Kong à la clé.
Sauf que la proximité, et, je crois, des désirs que nous avions tus, ou enfouis, s’étaient réveillés à cette occasion. Milada m’avait fait du rentre-dedans, et sans y mettre trop de formes, je venais de la prendre, à plat ventre sur mon bureau. Oui, on frôlait le gros cliché, mais sur le moment, ni elle, ni moi n’avions eu à nous plaindre du manque d’originalité de notre étreinte. Les désirs, ça n’attend que le feu vert de celles et ceux chez qui ils fleurissent, après tout.
Après avoir joui avec un abandon merveilleux à voir, ma collègue vint s’asseoir sur mes genoux. Son visage, traversé par un sourire de hyène, était tout proche du mien. Assise sur la bosse qui déformait mon caleçon, elle entama une lap dance qui aiguillonna mes sens et mit le feu à mon sexe qui n’avait pas vraiment eu le temps de ramollir. Sa danse du bassin, lascive et appliquée, me fit rapidement perdre la raison, puisque ni elle, ni moi ne portions plus grand-chose en-dessous de la ceinture.
— Pourquoi est-ce que je t’ai dit non, quand tu m’as draguée l’année dernière ?, se demanda-t-elle en bougeant sur moi. Je crois que ...
... j’avais peur de ce que j’étais prête à faire avec toi…
J’avais le même genre de crainte. Cette fille me rendait fou. J’avais accepté de rester son pote quand elle me l’avait demandé, mais l’option qui se dessinait à présent entre nous me plaisait beaucoup plus.
Milada ne quitta pas mon regard, tout en défaisant ma chemise, puis son chemisier, bouton après bouton. Elle les laissa tomber par terre. En transe, elle se lécha les babines avant de recommencer à m’embrasser. Sa bouche était chaude et gonflée, follement gourmande de la mienne.
Passant ses mains dans son dos, elle dégrafa son soutien-gorge qui chuta à son tour sur la moquette. Sa poitrine était nue, et rebondit légèrement en se libérant de son carcan. Je pus admirer ses seins, fermes et parfaitement ronds, sublimes. Ses tétons minuscules et foncés dessinaient leur empreinte en ombres chinoises sur le mur à la lumière pâle des écrans.
— Tu es magnifique, Milada, lui dis-je.
Elle se mit à rire, flattée.
Mutine, elle saisit mes mains dans les siennes et dit :
— Touche-moi, caresse-moi !
Son visage était transformé par le désir : ses joues rouges, ses pommettes empourprées et ses pupilles noires. Elle posa mes paumes, doucement, sur ses seins tendres et lourds, légèrement humides de sueur. Je me penchai vers elle, j’embrassai tendrement sa poitrine, lui mordillai les tétons, pendant qu’elle, excitée, me griffait le cuir chevelu avec ses ongles.
J’aurais pu jouer avec ses seins pendant des heures, ...