Arrivée chez mon amie - Histoires de Sexe

Arrivée chez mon amie

... avait tout fait pour le tenter, le séduire, les harcelant de message sur Facebook. Il avait fini par craquer, pour son plus grand plaisir.

Un silence interminable se fit dans la voiture. Elles se rendirent en pleine campagne au milieu d’un pré protégé par des haies. Un des endroits réguliers de rencontre des amants. Viviane avait apporté des couvertures afin de s’allonger plus confortablement. Le rituel semblait bien rodé.

Élodie proposa de profiter du soleil pour bronzer un peu et retira son grand tee-shirt large et ses leggings. Elle se retrouva nue comme un ver. Viviane savait depuis son arrivée qu’Élodie ne portait aucun sous-vêtement. Tout émoustillée, elle fit de même et retira son débardeur et son short. Elle lui avoua son excitation qui faisait durcir ses tétons au point qu’elle ne pouvait plus supporter son soutien-gorge.

— Cela me fait tout drôle de savoir que je vais faire l’amour à une femme pour la première fois. Je suis hyper angoissée.

Viviane n’avait jamais eu d’orgasme par cunnilingus et Élodie comptait bien lui faire adorer cette pratique. Élodie la rassura et lui caressa le dos, se frottant à elle en lui embrassant la nuque.

— J’ai une terrible envie de toi et je n’ai pas envie d’attendre Damien, lui dit-elle dans l’oreille.

À ces mots, Viviane se retourna et elles s’embrassèrent. Toute cette attente et cette excitation depuis si longtemps les rendaient folles de désir. Viviane la dévorait de baisers en s’attardant sur ses tétons si durs ...

... et sensibles.

— Viens, Viviane, allonge-toi.

Élodie se plaça aux pieds de son amie et commença à les caresser de ses doigts et de ses lèvres puis à les lécher de la pointe de sa langue avant d’y aller plus généreusement à grand coup de langue humide.

— C’est merveilleux Élodie, merveilleux. J’imagine déjà quand tu prendras possession de mon clito comme tu viens de le faire avec mes pieds.

Viviane frissonna à l’idée perverse qu’elle venait d’imaginer dans sa tête.

Élodie écarta les cuisses de Viviane qui obéit, puis Élodie l’obligea à les écarter encore plus. Viviane se sentit sexe offert et trempé sous les yeux de son amie.

— Mais c’est indécent de me faire écarter les jambes ainsi.

Les caresses d’Élodie remontèrent des pieds vers les genoux. Viviane fondait sur place face à cette lente progression vers son sexe. Quand les doigts et la langue partirent des genoux vers son sexe, Viviane n’en pouvait plus du supplice de cette attente.

— Oh, mon Dieu, je vais jouir dès que sa langue va toucher mon clito.

Viviane avoua cela dans un petit halètement. Son corps se contractait et ondulait d’envie, sa respiration se coupait et elle commençait à haleter.

Au moment où Élodie se rapprochait dangereusement de son clito, l’amant débarqua. Damien les rejoignit sans dire un mot, même pas un bonjour. Il se déshabilla à son tour quittant ses habits de paysan rustre. C’était effectivement un homme des bois hyper poilu, sentant la sueur des travailleurs. Il bandait ...