1. Alexia, premiers pas dans le monde de la perversion (4)


    Datte: 28/02/2023, Catégories: Transexuels Auteur: al3x1a, Source: Xstory

    ... souvent dans ce cas, mon propre sexe est à moitié gonflé et du liquide s’en échappe et vient salir le cuir du canapé. Je suis aux anges, défoncée mais heureuse.
    
    — Viens t’allonger sur la table.
    
    — OK chef.
    
    Je monte et m’allonge sur le dos sur la table, mets mes jambes sur les épaules d’Anthony et la baise reprend de plus belle.
    
    Anthony finit par s’amuser à sortir sa queue puis la rentrer entièrement d’un coup. Mon cul reste ouvert et aspire son sexe à chaque fois, je ne peux m’empêcher de pousser un cri dès qu’il revient en moi, mélange de douleur et de plaisir.
    
    Après un petit moment, il me demande de descendre et de m’appuyer sur la table. Mais très vite, il me plaque le ventre sur la table avec sa main et recommence à me sodomiser. Je n’ai pas l’impression de réussir à m’appuyer sur mes talons et sens mon bassin écrasé entre la table et ses coups de reins. Je commence à me sentir vide d’énergie face à sa baise virile et vigoureuse et je ne peux m’empêcher de lui demander d’abréger avec quelques mots d’excitation supplémentaires pour le faire venir :
    
    — Putain c’est bon... MM MMMM... AHHH... putain vas-y, allez, viens en moi, s’il te plaît.
    
    — Ne t’en fais pas.
    
    Son rythme accélère, il me serre les reins avec ses mains et je sens ses cuisses taper les miennes à chaque mouvement, il me brutalise le cul et je continue de le supplier :
    
    — Putain t’es en train de me défoncer, viens éjacule en moi s’il te plaît, j’en peux plus, vas-y remplis-moi.
    
    — Ne ...
    ... t’en fais pas, je vais te remplir salope.
    
    Il continue d’accélérer, ses mains agrippent fermement mes reins, je n’en peux plus, je me sens empalée à chaque va-et-vient, mes poings sont serrés, mes dents aussi, et je gémis et grimace, de douleur, de plaisir, je ne sais plus, je ne sens plus mes jambes, mon propre sexe, coincé contre la table, est dans une érection totale. Une partie de moi veut qu’il arrête, une autre en veut encore plus. Ce sentiment de me faire posséder, de mon cul qui se fait démonter à cru, pour le plaisir d’un homme qui va éjaculer en moi, est tellement jouissif, excitant.
    
    — RRRRaaaaaa.
    
    J’entends un râle sortir de sa bouche, j’essaye de serrer ma rondelle entre deux va-et-vient, puis Anthony ralentit et cesse rapidement tout mouvement. Je ne ressens pas spécialement son sperme en train de me remplir, mais je sens sa bite convulser. Anthony ne bouge plus, je suis prise d’un rire nerveux :
    
    — Tu viens de me défoncer.
    
    — Je viens de prendre un putain de pied.
    
    — Ressors doucement.
    
    Anthony se retire lentement dans un petit bruit de fluide corporel. J’ai le cul ouvert et je sens rapidement des gouttes couler de mon trou. Malheureusement, une sensation de gaz se profile et mon anus n’est pas en état de retenir sa semence qui sort en deux ou trois étapes et coule sur ma cuisse.
    
    Je me sens cependant heureuse, jamais un moment de baise ne fut aussi vigoureux dans mon esprit, je suis souillée de la jouissance d’un homme. Je vois son plaisir. Prise ...
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