1. Une tranche de vie


    Datte: 03/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Maceron, Source: Hds

    ... la mère de AL »
    
    Jules « C’est une sacrée nana, elle est drôlement bien foutue et sacrément sexy »
    
    Moi « Ah, .. Ouhais, elle est toujours élégante, et classe, c’est vrai »
    
    Jules « Élégante, tu parles, sexy oui. Les filles en bavaient de la voir ainsi. Une robe de toutes les couleurs qu’on aurait dit cousue sur elle avec un décolleté pas possible. Tu lui voyais presque les nénés
    
    Moi « Tu t’emballes, Jules, mais c’est vrai, je l’avais remarqué il y a une quinzaine quand j’étais venu me baigner, avant les résultats, bon on a autre chose à faire maintenant »
    
    Et nous sommes passé à autres choses. Préparation du barbecue (électrique, plus facile que le charbon de bois), …apéritif, grillades, …. Danse, plus slow que rock, …la soirée était agréable, ça flirtait gentiment. La soirée avançant, disons vers 11,00 heures, un couple décida qu’il était temps de profiter de la piscine et se fut le signal, tout le monde se retrouva dans la piscine. Les plus rapides avaient squatté les coins de la piscine et les mains partaient à l’exploration des intérieurs des maillots de bains tant féminins que masculins. Certaines, les moins timides, les plus hardies, le topless n’existait pas à l’époque, avaient déjà perdu leur SG. Quant à moi, alors que AL soufflait le dos au rebord de la piscine, dans la partie ou il y avait pied, je m’étais approché et moi aussi j’avais commencé à explorer ce que cachait son maillot. Cette exploration avait commencé à me faire de l’effet, et je ...
    ... commençais à avoir une gaule intéressante. Alors que j’étais rentré dans son SG, AL m’attrapa les mains et me dit : « Pas ici, dans 10 minutes … on se retrouve dans la caravane ». Elle se réajusta et sortit de la piscine, s’enveloppa dans une sortie de bains et disparut vers la maison. J’étais légèrement frustré, me disant qu’il allait falloir tout reprendre à zéro, mais par contre, je savais que l’arrière de la caravane contenait un grand lit, alors, …
    
    J’attendis et le temps étant passé, du moins je le pensais, je me dirigeais vers la caravane, me demandant si AL y était. Je pénétrais dans la caravane une légère pénombre régnait à l’intérieur, le peu de lumière venant de l’extérieur. Mais il n’y avait personne, je m’étais bien fait posséder, c’était un beau lapin. J’étais en train de me décider à partir, en arrivant à la porte de la caravane celle-ci s’ouvrit et AL arriva.
    
    « T’es déjà là, …., t’étais pas en train de partir ? J’ai voulu me changer»
    
    et elle se colla à moi et me dit :
    
    « Embrasses –moi »
    
    Ce devait être la première fois qu’elle le demandait, je pensais que ma cote remontait. Ceci étant gros baisers sur la bouche ou nos langues se cherchaient, se trouvaient, se suçaient, … et nous étions au bord du lit.
    
    Qui poussa l’autre, …, mais nous étions sur le lit. AL sur le dos et moi entrain de l’embrasser et poussant l’avantage, je glissais une main sous son T-shirt et j’arrivais sans encombre à ses seins qui n’avaient plus cet éternel obstacle qu’est le SG. Mes ...