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Monique Ch. 01
Datte: 26/02/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... car le chef avait sorti sa bite et il lui fourra dans la bouche. Il lima sa gueule sans aucune pitié. Dès qu'elle eut avalé son foutre, les hommes se dispersèrent. Je me cachai derrière une rangée de sièges, laissant Monique essuyer le sperme de son visage, remettre ses vêtements et s'enfuit vers sa voiture. Bien sûr j'attendis 21 heures pour rentrer à la maison. Elle était propre et souriante, peut-être un peu inquiète quand je suis arrivé. J'avais été une mauviette et j'avais laissé les choses se produire. Mais je m'étais amusé un peu et je me dis que ça lui apprendrait à ne pas jouer avec le feu. Notre vie sexuelle redevint normale et ma femme ne me demandait pas plus. Mais il fallait que je m'assure qu'il n'y avait rien d'autre. Alors je préparai le même plan pour être disponible un autre vendredi. Je m'assis une fois de plus dans la salle de cinéma. Mais je fus surpris de ne voir que deux hommes et je fus encore plus surpris quand Monique entra. La salle étant presque vide, les deux hommes l'attrapèrent chacun par un bras et la traînèrent vers le fond. Ils la posèrent sur la première rangée de siège près de l'entrée. Elle ne sembla pas protester quand un des hommes s'assit à côté d'elle et la tira vers lui. Je vis sa main remonter le dos de sa jupe alors qu'il la tirait afin qu'elle s'assoie sur sa grosse queue bien raide. L'autre gars s'était positionné sur la rangée devant elle. Elle baissa la tête pour engloutir sa bite dans sa bouche. Il n'y avait pas ...
... de préliminaires, pas de caresses, ils venaient juste pour baiser ma femme. Pourquoi avait-elle besoin de ce genre d'attention? Avant que je finisse de réfléchir, un autre homme se précipita à l'intérieur, et dit quelque chose à ses deux autres compères. Tout à coup, Monique fut poussée vers une sortie de secours. Ils sortirent avec moi à leur poursuite. Il y avait une voiture dans l'allée. Le conducteur laissait tourner le moteur. Ils poussèrent ma femme à l'arrière et filèrent à toute vitesse. Heureusement ma voiture n'était pas garée bien loin et je pus les suivre facilement. Ils allèrent dans une rue sinueuse du centre-ville, où il y avait une longue rangée de maisons mitoyennes converties en appartements. Les hommes descendirent de la voiture avec Monique. Ils la poussèrent vers une porte. Je garai ma voiture plus loin et remontai lentement la rue jusqu'à la maison. Je regardai les fenêtres. Une lumière s'alluma. Je décidai alors de m'approcher précautionneusement de la fenêtre. Je jetai un coup d'œil à l'intérieur et je vis que l'on avait jeté ma femme sur un matelas. Elle était confuse. Elle essaya de se lever et de partir, mais à chaque fois qu'elle le faisait, des mains puissantes la repoussaient, jusqu'au moment où le chef entra dans la pièce. Ce fut le silence. Il sourit en la regardant. Heureusement il parlait assez fort pour que je puisse entendre : - Nous commençons à en avoir marre du cinéma. C'est ici que nous allons te baiser dorénavant. J'ai ...