Dimanche 22 novembre 1981 – Le matin
Datte: 25/02/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceran, Source: Hds
Lundi 23 novembre 1981 au matin
A 5 heures par habitude, à mon habitude, je me levais difficilement, mais discrètement, pour mes ablutions matinales, douche, rasage, … AL se levait au moment où l’odeur du café atteignait ses narines, ce qui également fut le cas ce jour. Mais à priori, les yeux pas tout à fait en face des trous. Elle s’était quand même donné un coup de peigne et avait mis un peignoir, qui ne cachait rien, ce qui involontairement ou non me donna des idées. Des idées bien précises, elle me faisait envie, malgré ce que l’on avait fait la veille, je la voulais, j’avais envie de la prendre, de la baiser et je dirais instinctivement je me mis à bander et bander dur.
Alors qu’elle allait récupérer les toasts à la cuisine, je la suivais et par derrière je l’enlaçais.
AL : « Arrêtes, … qu’est ce que tu fais, … » et pendant cette question j’avais ouvert le peignoir et m’occupais de ses seins, sachant que c’était un endroit particulièrement sensible et qui pouvait, bien pris, me permettre de pousser l’avantage.
Moi : « J’aime tes seins,… et je n’en ai pas profité hier soir, … »
AL : « Arrêtes, … j’ai cours ce matin, … arrêtes, … » mais pendant ses réflexions j’avais parcouru du bout des lèvres son cou, ce qui immanquablement la faisait frissonner, ce qui était de bonne augure. Je la faisais pivoter et avant qu’elle ne réagisse, je me mettais à sucer et téter ses seins, dont les tétons ne tardèrent pas à réagir et à durcir fièrement. C’est alors, que se ...
... laissant faire, elle posa une main sur ma tête la maintenant pour que je continue à m’occuper des ses beaux nénés. Mais ne perdant pas l’avantage de la situation, ma main droite descendit plus bas vers son entrejambe où j’eu juste la place de glisser une main et la poser sur son minou. Une douce caresse sur cette chose douce, chaude et humide, … C’était l’instant où un doigt s’enfonçant doucement dans son fourreau, cette intrusion était acceptée, alors les cuisses s’écartaient et comble de bonheur, le bassin s’avançait pour mieux se planter sur ce doigt curieux. C’était gagné, les cuisses s’écartèrent les jambes se plièrent le bassin s’avança en même temps qu’elle disait : « T’es content de toi, … une fois de plus je cède, …t’es un monstre, … »
Déjà appuyée contre le plan de travail de la cuisine, juste un petit effort elle était assise, prête à se laisser prendre, c’est alors que m’abaissant je lui disait : « Sortant du lit, comme ça, … je veux gouter à ta chatte, … elle est toute chaude, …elle sent bon, … » et plongeant entre ses cuisses s’ouvrantes au maximum, et le nez dans sa toison, je humais son odeur chaude et du bout de la langue, je goutais à l’humidité de ses grosses lèvres, la réaction fut rapide :
AL : « Arrêtes, … viens prends moi, … fais moi l’amour, … non baises moi, … dépêches toi, …» me redressant, le short, le caleçon furent descendus rapidement. Alors AL guida mon engin dans sa grotte d’amour, ouverte chaude et accueillante et là sans attendre, je ne ...