L'avilissement d'Aurore - Partie 04 - Histoires de Sexe

L'avilissement d'Aurore - Partie 04

... au-dessus. Le sang de l'employée d'administration ne fait qu'un tour quand elle prend conscience que le plateau va descendre juste après, et que les nettoyeurs vont avoir une vue nette et directe sur elle en train de se masturber :

- Monsieur le Président, implore-t-elle. Dehors, à la fenêtre... Les laveurs de carreaux...

- Eh bien? Ils sont là chaque mois. On ne frotte pas les vitres à l'Administration? répond celui-ci.

- Mais... Ce sont des inconnus... Ils vont me voir..., proteste-t-elle.

- Tais-toi et continue!

C'est alors que la plateforme descend à leur étage. Et comme le craignait la subalterne, les trois hommes --tous d'origine arabe- la voient tout de suite, mais elle n'a pas d'autre choix que de continuer à s'astiquer avec la bite factice. -- Place-toi face à eux! Je veux qu'ils voient ton expression quand tu te baises avec un sextoy! Plus vite, plus fort. Je veux qu'ils te voient prendre ton pied! Il y a maintenant des bosses nettes dans le pantalon des travailleurs. - Allez, jouis pour eux!

Alors qu'elle fait glisser de plus belle le gode dans un spectacle d'auto-viol, elle refuse que son corps la trahisse. Elle simule donc un violent orgasme avant que la situation dans laquelle elle se trouve ne lui soit rappelée lorsque, redressant la tête, elle voit les nettoyeurs la regarder avec lubricité. Une humiliation absolue déferle sur elle. Le Conseiller a cessé de filmer. - Gratifie-les! Remercie ses trois hommes d'avoir été si bon public lors de ...

... ta débauche! ordonne-t-il, sans même la dévisager.

Regardant les ouvriers derrière la fenêtre, elle murmure : - Merci, Messieurs! -- Mais enfin! Pas comme cela! Va les voir! Embrasse la vitre! s'énerve Daniel Guérin.

Nue, hésitante, elle marche jusqu'à la glace et pose un léger baiser dessus. - Utilise ta langue... Lèche le carreau! poursuit-il.

Ce qu'elle fait, vaincue. Les maghrébins, chacun leur tour, l'embrassent à travers la vitre. Les glaces sont froides, ses tétons durcissent presque immédiatement.

- Viens ici, maintenant! requiert à présent son « patron », tout en écrivant sur un bloc-notes. Puis, tendant le calepin à Aurore : - J'avais prévu de t'emmener ce soir à l'hôtel, mais je préfère finalement que tu montres cela à ces gentils messieurs.

Lisant le griffonnage pour elle-même, elle découvre les quelques mots : - Seconde représentation ce soir? 18 h, Hôtel de la Poste, Chambre 134! La belle recule, choquée :

- Monsieur... Mais je ne peux pas! Mon mari... Que vais-je lui dire?

- Ce n'est pas mon problème. Tu n'as qu'à inventer que tu as du travail à terminer avant de rentrer! Tu vas aller à ce motel même si je dois t'y traîner par les cheveux.

Et tu t'amuseras avec ces Arabes. Cela te changera des Blancs et des Noirs. Ce sera la découverte d'une nouvelle culture, comment dirais-je, un peu plus méditerranéenne.

Rouge telle une pivoine, l'auxiliaire marche jusqu'à la fenêtre et montre la note aux individus. Tous les trois font un signe ...