Berlin (1)
Datte: 25/02/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: chgrey, Source: Xstory
... me met, au point de pousser le vice à tourner doucement sur elle-même comme une danseuse étoile, me laissant découvrir la délicieuse courbure de ses fesses. Mon impression des derniers jours se confirme, Marion a l’un des plus beaux culs qu’il m’ait été donné de voir, deux rondeurs parfaites, un véritable appel à la caresse. Je vous laisse imaginer les pensées qui me viennent en voyant cela... Je n’en mène plus très large face à elle, j’ai la gorge sèche, incapable de formuler une pensée cohérente qui ne soit pas portée sur ce que j’ai sous les yeux...
Je dois vite trouver une idée pour l’amener à plus.
— Le défilé t’a plu ?
— Putain... euh je veux dire... oui... beaucoup... mais tu sais, souvent on montre les ensembles dans les défilés non ?
L’excuse la plus bateau qu’on ait entendue pour amener une fille à se déshabiller. Mais cette fois, pas de réponse de sa part. Comme si elle s’attendait à ma demande. Je la vois hésiter, se mordre la lèvre inférieure, trahissant les pensées contradictoires qui doivent se bousculer en elle. Est-ce qu’elle a envie de se montrer en sous-vêtements devant un collègue ? Et si demain, il allait tout raconter aux autres ? Ses doigts effleurent la lisière de son sweat, attrapant, hésitant, tel un cowboy prêt à dégainer son arme.
Ils finissent par se resserrer sur le morceau de tissu, sa décision est prise, au diable demain, la tentation du jeu est trop grande, the show must go on ! D’un mouvement souple, elle découvre le haut de ...
... son corps, se décoiffant légèrement au passage.
— Content ?
Je n’entends même pas sa question. J’en suis encore à détailler chaque parcelle de cette peau claire qui paraît si douce au toucher, contrastant avec le noir profond de ses dessous. Son ventre musclé se contracte sous l’effleurement de mon regard. Un simple soutien-gorge noir dissimule encore sa poitrine, se soulevant sous l’effet de sa respiration qui s’est accélérée. Son audace semble l’avoir secouée autant que moi. Je ne me gêne pas pour la détailler de haut en bas, mes yeux trahissent sûrement tout le désir qui m’habite en ce moment. Je rêve de pouvoir la faire mienne. Nous sommes là, au milieu d’une chambre d’auberge de jeunesse à Berlin, ma collègue à moitié nue debout devant moi.
L’absurdité du moment semble la frapper également, quand j’esquisse un mouvement vers elle, elle se dérobe pour annoncer que la partie est finie.
— Allez ça suffit, au lit maintenant !
— Mais et la presse ?!
— La presse ?
— Bah oui la presse ! Dans tous les grands défilés, il y a des journalistes et des photographes. Il faut bien immortaliser toutes ces belles tenues...
— Tu veux me prendre en photo ?
— Oui, qu’est-ce qu’on va mettre à la Une demain sinon ?
Je tente la carte du photographe professionnel à fond, en espérant qu’elle ait envie de jouer avec moi...
— Tu as raison, il va falloir que j’essaye d’autres tenues alors tu ne penses pas ?
Bingo ! Je retrouve la Marion joueuse que je connais, je ...