1. Mes chères amies (13)


    Datte: 25/02/2023, Catégories: Transexuels Auteur: Justine_, Source: Xstory

    ... complète de l’engin puis se retire puis re-rentre et fait cela trois ou quatre fois de suite, ce qui a comme résultat de m’électriser.
    
    — Prends-moi s’il te plaît, prends-moi... encule-moi... je dis comme une supplique.
    
    Fanny pose ses mains sur mes hanches et me maintient fermement et reprend la pénétration, elle me prend en levrette.
    
    Je sens son sexe factice aller et venir en moi, m’envahir, je sais que c’est elle et pas un homme, dans ma tête c’est confus, mais mon corps réclame cette sodomie... elle est délicieuse. Elle est différente d’avec un homme, le sexe est toujours dur, mais sans vie, mais Fanny est douce, plus douce que peut l’être un homme...
    
    Et d’un coup, je songe que Fanny aussi est enculée en même temps qu’elle m’encule, il y a un plaisir double... ma pensée alterne entre le bien qu’elle me procure et l’image de ce gode dans ses fesses à elles. C’est trop bon, nous sommes deux salopes ensemble qui se gouinent, je me sens tellement femme... tellement femme !
    
    Mon plaisir monte puissamment, aidé par l’image d’elle en train de me prendre et avec son gode fiché dans son petit cul, mon propre plaisir et l’idée que nous sommes deux femmes en train de se gouiner.
    
    Je me sens mouillée... j’ai l’impression que je mouille du cul, c’est incroyable... ça monte... ahhhh j’ai un spasme, puis deux... j’essaie de les contenir, mais c’est mission impossible, c’est trop fort... J’explose, j’ai un orgasme puissant qui m’arrache un long gémissement que je ne ...
    ... contrôle pas.
    
    Je vacille et je sens les mains sur mes hanches qui se crispent, je comprends alors que Fanny vient également de jouir. Je me mets à trembler, je n’ai plus de force, je résiste pour ne pas m’écrouler. Je sens le sexe sortir de mon antre d’amour, laissant le sentiment d’être vide et ouverte.
    
    Je ne tiens plus, je m’écroule sur le ventre, sonnée par l’orgasme et Fanny qui parait autant groggy s’écroule à mes côtés. La scène parait ridicule avec ce sexe toujours droit entre nous deux.
    
    Fanny retire les accessoires et retire le gode de ses fesses qui lui a donné son plaisir.
    
    On s’enlace sans rien dire. D’ailleurs, nulle parole n’est essentielle à ce moment précis.
    
    Au bout de quelques instants, c’est moi qui romps le silence.
    
    — Merci Fanny, c’était bon, tellement bon...
    
    — Merci à toi Justine, tu es un puits de désir.
    
    — Je ne pensais pas avoir autant de plaisir avec un gode ceinture.
    
    Fanny sourit. Je réfléchis un peu avant de dire.
    
    — Mais en fait, c’est un ensemble qui m’a procuré le plaisir ; toi, la situation, d’être entre femmes, de te savoir prise aussi... tout !
    
    — Je sais !
    
    — Et l’orgasme a été violent, tu sais.
    
    — Oui j’ai vu, mais le mien aussi.
    
    Une larme coule sur ma joue, puis une seconde. Je n’ai pas envie de pleurer, mais je ne peux pas les retenir.
    
    — Qu’est-ce que tu as ma chérie ? pourquoi pleures-tu ? Je t’ai blessée ?
    
    — Nooon non Fanny, non, ce sont des larmes de bonheur. Il se passe tellement de belles choses dans ...