1. Voyage et Découvertes (3)


    Datte: 24/02/2023, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    ... conséquent, pendant que l’autre frayait son passage dans l’antre déjà occupé.
    
    J’avais déjà vu Dietrich se faire prendre en double dans son bungalow, mais là, c’était beaucoup plus fort, bestial, avec une ampleur phénoménale, ces deux queues défonçant à mort l’orifice de ce mec qui semblait en retirer une jouissance indescriptible. Ce n’étaient pas vraiment des petits calibres ni celui de Medhi non plus, mais quand même... !!!
    
    Si je ne suis resté que spectateur, je crois que les neurones de mon cerveau ont joué à plein régime. Jamais je n’approcherais une fille, des seins, une chatte. Quelles que soient les pressions que j’allais subir, je ne céderais jamais, ma vie ne serait qu’aux hommes... Exclusivement...
    
    A moi d’expliquer à ma mère, le moment venu, que les goûts sont différents dans la nature. Prenant par exemple qu’elle détestait le chocolat, alors la plupart des gens l’adoraient, une grande majorité d’ailleurs, ce qui ne faisait pas d’elle une « anormale ». C’est un exemple que je vous décris là, mais il m’a fallu en user beaucoup d’autres ensuite.
    
    Revenons à Ibiza, et après le spectacle de cette baise torride, je suis retourné dans mon lit, plein d’images dans les yeux et bien décidé à les mettre à profit, avec ou sans Medhi.
    
    Après tout, comme disait Marcel Pagnol, « l’honneur, c’est comme les allumettes, ça ne sert qu’une fois ! » Et en ce qui me concernait, l’allumette avait déjà été bien consumée.
    
    Même si je savais que le petit-déj’ au buffet était ...
    ... superbe, j’avais souvent passé l’heure de m’y rendre, épuisé par mes baises ou mes sorties nocturnes. Le service était vraiment impeccable et lorsqu’une absence était constatée, un plateau était amené en chambre par un serveur, vers les 10 heures, moins copieux, mais conséquent.
    
    Allongé nu sur mon lit, chatte à l’air, j’ai vaguement entendu les trois coups sur ma porte et l’ouverture grâce au passe du steward, selon l’usage en vigueur dans l’établissement. Mon plateau déposé sur ma table, il est resté quelque secondes à me regarder, offert, et ses mains m’ont caressé sur tout le corps, jusqu’à mes fesses, appuyant sur mon calice d’une manière de plus en plus précise. Je voyais la barre qui se formait entre ses jambes, relativement longue, mais surtout très large, qui déformait son pantalon d’une manière... Indécente.
    
    — Je vous ai apporté votre petit-déjeuner Monsieur... Avez-vous besoin d’autre chose ? J’ai un peu de temps devant moi, je suis Luis, pour vous servir.
    
    Les odeurs du café et celles que ce mâle dégageait m’ont réveillé totalement, et surtout, mon désir de l’homme et de bite. Il s’est approché de moi, collant ma bouche et mon nez sur son entrejambe, dont la braguette, fermée par juste un bouton, laissait passer ses effluves. Je n’ai juste eu qu’à l’ouvrir pour laisser son pieu apparaître, comme je le devinais, hyper-velu, pas hyper-long mais d’une largeur peu commune, sous lequel une magnifique paire de couilles pendait.
    
    J’avais appris par Dietrich que ...