1. Il faut que je me laisse aller


    Datte: 03/09/2018, Catégories: ffh, hplusag, fplusag, jeunes, couple, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Pericles, Source: Revebebe

    ... oublier cette habitude quand nous nous sommes rencontrés.
    
    Je la sens se tortiller un peu à côté de moi pour mieux voir, comme je laisse temporairement sa queue sortir de ma bouche. Puis je l’aspire à nouveau très fort et tout aussi profondément. Cette fois, je reste dans la même position, tout comme elle l’avait fait, jusqu’à sentir des larmes brouiller ma vision. Je veux lui caresser les testicules avec ma main mais je m’aperçois que la place est déjà prise. Je la retire alors pour laisser la place à Marion.
    
    Sa main vient alors sur mon visage, repositionne une mèche de mes cheveux derrière mon oreille, puis continue son trajet sur mon dos. Vers le bas, très lentement, seulement de la pointe des doigts, des doigts légers comme une plume, s’arrêtant sur chaque bosse de ma colonne vertébrale jusqu’en bas, puis remontant jusqu’à la nuque. Je sens alors un sein ferme, rond, se presser contre mon bras.
    
    — Tu es encore plus jolie avec sa queue dans la bouche… soupire-t-elle.
    
    Son érection pulse dans ma bouche, dure, chaude. Je le suce maintenant très régulièrement, dedans, dehors, dedans… une fellation grandement facilitée par ma salive abondante, sentant sa cuisse se tendre contre mon épaule. De plus en plus. Il ne va pas tarder. J’adore avaler la grosse quantité de sperme qu’il produit lors d’une première jouissance. Mais je veux être une bonne hôtesse. Donc je ralentis, puis j’arrête et je retire ma bouche de sa queue. Il gémit piteusement. Je pousse mon mari dans la ...
    ... direction de Marion. Elle me sourit, me murmure « Merci… », prend une profonde inspiration et glisse la verge dans sa bouche, mais pas complètement cette fois-ci. Elle ne le pompe pas. Elle positionne juste le centre de sa langue derrière le gland et entame un travail latéral avec sa mâchoire. De cette manière elle se procure quelques secondes supplémentaires.
    
    Je lui retourne son compliment en caressant ses cheveux somptueux :
    
    — Tu es très jolie comme ça aussi !
    
    Je me surprends à réaliser soudain que je ne suis pas du tout jalouse de la fellation qu’elle lui donne. Elle me sourit autour de l’érection de mon mari. Je glisse ma main vers le bas et chatouille ses couilles – c’est mon tour maintenant – très doucement, seulement avec les ongles. Il gémit à nouveau, plus fort. Plus profondément. Je vérifie avec soin. Mon rouge à lèvres était peut-être quelques millimètres plus près de la base de son érection que le sien. Je ne suis pas une compétitrice ; je ne pense pas que ça m’aurait dérangée si ça n’avait pas été le cas. Mais c’est le cas, et le fait de le voir me fait me sentir bien. Sa mâchoire continue son travail mais Marion lève soudainement ses sourcils vers moi. Je comprends sa question muette, bien sûr. J’ai déjà décidé de la réponse quand je lui ai transmis mon mari.
    
    — Je l’ai déjà avalé de très nombreuses fois, je lui murmure.
    
    Elle me sourit à nouveau, laisse sortir la verge jusqu’à ce que la base du gland soit clairement visible entre ses dents blanches, ...
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