Il faut que je me laisse aller - Histoires de Sexe

Il faut que je me laisse aller

... grogner plus fort, projette ses hanches vers le haut pour me pénétrer profondément et je sens son sperme chaud m’éclabousser à l’intérieur, me remplissant totalement. Je continue à bouger un peu, mais j’essaie de le garder profondément enfoui en moi. J’adore cette sensation de sa queue qui pulse dans mon vagin, projetant ses dernières réserves de sperme au fond de moi.

— Ooooh, tu es tellement belle ! C’est la deuxième plus belle chose qui soit ! murmure-t-elle, son nez à cinq centimètres de ma chatte.

Elle regarde le sperme de mon mari couler lentement hors de moi.

— Une chatte pleine de sperme…
— Et c’est quoi la plus belle chose, alors ? je lui demande.
— Une belle queue pleine de sperme ! répond-elle en éclatant de rire.

Elle regarde mon mari et lui fait un clin d’œil.

— Maintenant, dépêche-toi de nous en procurer à nouveau une en état de fonctionnement !

Encore dans les nuages, il fait juste oui de la tête. Puis elle revient mettre sa tête entre mes cuisses, ferme les yeux et respire profondément.

— Et c’est aussi la meilleure odeur qui soit. Une merveilleuse odeur d’homme et de femme mélangés.

Je me relève enfin et la queue de mon mari glisse, gluante de nos sécrétions partagées, hors de moi. Comme si elle n’attendait que ça, Marion se penche et pose ses lèvres sur la deuxième plus jolie et première plus odorante chose qui soit : ma chatte pleine du sperme de mon mari !

— Hmmmm…

Je gémis. C’est tellement bon… Je me relève un peu sur mes ...

... coudes pour profiter aussi de la vue. Du bout de sa langue, elle récupère une partie du sperme qui s’écoule puis, me regardant droit dans les yeux, elle s’en pourlèche les lèvres. Et elle recommence jusqu’à ce que toute trace émanant de mon mari ait disparu. Elle écarte alors doucement mes lèvres intimes avec ses doigts pour récupérer une nouvelle dose de sperme, jusqu’à épuisement.

Une fois ce nettoyage terminé, elle enchaîne avec un petit ballet totalement excitant : sa lèvre inférieure se pose sur mon périnée et remonte vers ma chatte, où elle enfonce sa langue, puis sa lèvre supérieure se pose sur mon clitoris et descend plus bas, où elle enfonce à nouveau sa langue. Et encore, et encore… De temps en temps, elle marque une pause sur mon petit bouton pour l’aspirer entre ses lèvres. Mon mari me fait souvent cet hommage avec sa bouche ; il dit qu’il adore ça, et moi aussi j’adore quand il me le fait. Mais là, l’expérience est totalement différente ; « électrifiante ». J’écarte encore plus les jambes pour lui faciliter la tâche.

En fait, elle bouge beaucoup plus lentement que lui quand il me lèche. Beaucoup, beaucoup plus doucement. À peine un effleurement qui cependant me coupe le souffle. Elle redescend à nouveau, sa langue s’arrêtant à peine un demi-centimètre au-dessus de mon anus. Je me demande si elle veut s’y égarer, mais à nouveau elle reprend le chemin inverse, terriblement lentement, terriblement légèrement, s’enfonçant à peine en moi puis venant lécher mon ...