Rendez-vous à l'aire de repos (3)
Datte: 23/02/2023,
Catégories:
Gay
Auteur: ams71k71, Source: Xstory
Après la première régalade avec Bob24 j’en ai connu de nombreuses sur cette aire de repos et sur d’autres que j’ai fréquenté au fil du temps.
J’ai sucé des bites, léché des couilles et des culs ; des jeunes, des vieux ; des propres et des moins nets…
J’ai aimé toutes ces rencontres d’inconnus au hasard des échanges sur les sites spécialisés sur le net.
Bien sûr j’ai connu quelques échecs, mais le plus souvent après plusieurs messages et échanges de photos, les rendez-vous se sont concrétisés par de bonnes giclés de sperme au fond de ma gorge gourmande.
Pourtant je sentais que sucer ne me suffisait plus. Il me fallait des sensations plus intenses. Je voulais être complètement la « femelle » de ces étrangers rencontrés.
Mes doigts et mes jouets n’étaient pas assez « vivant » pour répondre à mes envies croissantes.
Bref, il me fallait me faire enculer. Je voulais sentir glisser une queue dans mon rectum de salope. Je voulais être empalé profondément et sentir les spasmes de jouissance de mon partenaire me remplir le cul de foutre.
J’ai donc sélectionné parmi tous les sites que je fréquentais, celui qui me paraissait le plus approprié à mon projet : à l’écart des grands axes de circulation et où l’on pouvait s’isoler pour un rendez-vous sodomie. Sans hésitation, tellement le besoin me taraudait, j’ai déposé un message sur le flow de ce lieu : « Salope friande de sperme, mon cul sera disponible pour toi qui restera inconnu ce soir à partir de vingt-trois ...
... heures ».
J’ai ensuite passé la fin de l’après-midi de ce jour que j’espérais être ma dernière journée de « pucelle » à mater des vidéos de mecs se faisant enculer, plus la soirée approchait plus j’étais excité. A vingt heures je n’en pouvais plus, un plug vibrant dans le cul je me branlait frénétiquement jusqu’à jouir sur la table du salon. Je me suis alors agenouillé devant le fruit de mon plaisir et j’ai consciencieusement dégusté mon foutre en guise d’apéritif.
A vingt-deux heures trente j’ai enfilé ma tenue de trainée, jogging et sweat, spéciale aire de repos. Pas de sous-vêtement inutile pour mon projet. J’ai chaussé mes baskets, j’ai rejoint mon véhicule dans la rue. La nuit de juin était sèche et chaude, le temps idéal pour un rendez-vous nature nocturne. Je pensais que la probabilité que mon message ne soit pas vain était bien importante et qu’une demi-heure plus tard je pourrai être en train de me faire baiser par une belle queue bien raide.
Installé dans ma voiture j’ai mis le contact, enclenché la première et je suis parti vers le site choisit. Trente minutes de trajet à espérer, à fantasmer, à frétiller du cul…
A vingt-trois heures précises j’étais arrivé, j’ai quitté la route et je suis allé me stationner sur l’aire de repos à l’abris des arbres en limite de sous-bois. J’ai coupé le moteur. Aucun éclairage, seule la lune dans le ciel dégagé. Personne, pas un bruit. J’ai éteint les feux de croisement de mon véhicule et allumé le plafonnier. J’ai reculé mon ...