Série insolite. Épisode 12 : « William ». Le sacrifice sexuel. Partie 3/13
Datte: 23/02/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... lui refuser après lui avoir caressé le sexe.
J’avais bredouillé un : « Euh...non » et cinq minutes plus tard, nous étions sous la douche où il n’avait pas hésité à me préparer, j’étais comme un adolescent j’appréhendais l’instant. Arrivé dans la chambre, il ne tarda pas à m’ordonner d’un ton autoritaire : « Suce-moi » J’avais immédiatement obéi en me mettant à genoux devant son phallus qu’il avait libéré en ouvrant la serviette de bain qu’il tenait autour de la taille. Le souffle un peu coupé et le cœur battant la chamaille, j’approchai mes lèvres de cette verge de 20 cm dure comme du bois. André était exceptionnel, il avait déjà éjaculé trois fois la veille et à 62 ans, il bandait encore comme un taureau. J’avais glissé son membre dans ma bouche et je m’appliquai à le satisfaire.
Ma peur s’était estompée, je fus surpris d’apprécier sucer ce beau calibre que je faisais coulisser entre mes lèvres. Après une petite dizaine de minutes de suçage, léchage et de jeu de langue sur son gland, André éjacula de gros jets de sperme sans me prévenir. Je recrachais sa semence, j’étais écœuré, toutefois il me félicita pour ma fellation, il avait bien apprécié ce moment. Il me poussa sur le lit à plat ventre et vint derrière moi et se mit à me lécher l’anus en me triturant les fesses. J’avais moi aussi aimé sa langue et son doigtage, j’étais stupéfait, il était une nouvelle fois en pleine érection alors que mon sexe était loin de bander.
Il était parvenu à me lubrifier et à ...
... détendre ma rondelle et j’en avais retiré un certain plaisir. Il me prit par surprise, il entra son gros phallus dans l’anus : « Non ! Aïe ! Ouille ! Oh Non ! » Criais-je, lorsque son gland me pénétra puis face aux assauts de cette longue queue. Il croyait que mes cris étaient dus au plaisir mais ce n’était pas tout à fait le cas, même si à certains moments j’appréciais de le sentir en moi. Pendant ses va et viens puissants, je me mordais les lèvres et serrait fortement l’oreiller. Il avait tout de même compris que je n’étais pas très à l’aise.
Il me fit changer de de position, ralentit la cadence et fut un peu plus doux, tout en me disant de me laisser aller aux plaisirs et qu’il aimait me baiser le cul. Me voyant gémir et pousser quelques petits cris inaudibles, il avait même fini par me dire tout en allant et venant dans mon rectum : « Je vois que tu aimes ça ! Hein William ! » Je n’avais pas voulu lui répondre non, je dis un petit « oui » pas du tout convaincu. Pendant qu’il m’enculait, il me branlait avec insistance et face à ses coups de reins et de ses coups de poignets, j’avais fini par éjaculer une petite quantité de sperme.
Toujours à quatre pattes sur le lit, me prenant en levrette, plus je me détendais, plus j’appréciais sans toutefois prendre un réel plaisir, il était bien trop gros et cela m’irritait l’anus. Enfin mon calvaire pris fin, il se retira et me demanda d’avaler sa semence. Heureusement pour moi, il n’y en avait plus beaucoup et sans me forcer, j’avais ...