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Ma belle-mère, ma femme et moi ! (1)
Datte: 22/02/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: jeremie43, Source: Xstory
... la sieste du petit. Bref les plaisirs simples d’une vie en famille aux parfums de vacances. Souvent le matin ou plus rarement en début d’après-midi, si les températures le permettent, je pars faire mon tour à vélo quotidien quelques dizaines de kilomètres, à oui aussi la nouveauté 2019, c’est une piscine zodiaque sur la pelouse, histoire de se détendre et de rafraîchir les enfants, car Hugo le jeune frère de Béatrice sa femme et leurs fils passeront 2 fois nous rendre visite pendant notre séjour, la première fois, dès ce week-end, faisant une étape sur la route de leurs vacances et normalement 15 jours plus tard à leurs retours. Ils habitent dans l’Oise et passent cette année 2 semaines sur la côte. Ce premier chapitre débute juste après le repas de midi, le samedi du week-end où mon beau-frère et sa petite famille sont là. On ne peut pas dire que je déteste Hugo, mais il ne m’est pas particulièrement sympathique, et son fils, mon neveu, une vraie furie, toujours à brailler. Si bien qu’après le repas, alors qu’une sortie promenade s’organise pour passer l’après-midi à la rivière, je décline poliment, préférant m’offrir une séance de cyclisme en solitaire. Je suis dans la salle de bain à me brosser les dents quand ma petite Béa me lance un « on y va ! Bon après-midi, sois prudent ». Je me rince rapidement la bouche et m’approche du haut des escaliers pour lui répondre, mais trop tard, la porte d’entrée claque et j’entends leurs voix s’éloigner petit à petit à ...
... l’extérieur. J’allais me retourner pour enfiler dans ma chambre ma panoplie du parfait cycliste professionnel, lorsqu’en bas des escaliers, Carole apparaît, les yeux plongés sur son smartphone. Apparemment, elle aussi s’était esquivée de cette petite promenade. Je n’étais pas au courant, et surtout, elle était parfaitement silencieuse au rez-de-chaussée. Si je ne l’avais pas aperçue, jamais je ne me serai douté que je n’étais pas seul à la maison. Bon, j’arrive dans la chambre, je sors mon casque, mon cycliste, mon t-shirt et mes gants de vélo et je commence à me changer. Je suis en caleçon quand j’entrevois une ombre furtive dans l’entrebâillement de la porte. C’est Carole qui se dirige vers sa chambre, seulement elle aussi a dû me voir, et elle marque un temps d’arrêt. Je m’attends à ce qu’elle se signale, mais non ! Elle reste plantée là ! Je ne vois pas son visage, juste une silhouette, peut être qu’elle est simplement toujours absorbée pas son téléphone ou alors, elle m’a aperçu presque nue et elle se rince l’œil ? Cette idée me traversant l’esprit fait naître dans mon caleçon un début d’érection. Jusqu’à aujourd’hui, jamais ce genre de pensée ne m’avait traversé l’esprit. Je décide d’aller ouvrir la porte-fenêtre qui donne sur le balcon le léger courant d’air ainsi provoqué, ouvrira comme à chaque fois la porte de ma chambre. Ainsi, je saurai si son téléphone est la cause ou non de son immobilisme. La légère brise opère, et la porte est maintenant grande ouverte, je me ...