1. Mon éveil de soumise Chapitre 12


    Datte: 03/02/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Divinmarkiz, Source: Hds

    ... placée me dis-je. Histoire de me rassurer.
    
    «Je sens mon cul s’ouvrir, c’est un peu dur mais j’ai envie de vous satisfaire »
    
    Comme ces mots étaient doux ! Mes craintes se dissipaient mais pas complètement.
    
    J’attendis un long moment, me harnachait de mon gode ceinture et la libérait.
    
    Je pénétrais sans difficultés dans ses fesses et lentement son bassin se mit à bouger, à engloutir mon « membre » ; je pus commencer à la baiser, sans hâte, fermement.
    
    «Fouillez moi le cul, défoncez le Fabienne »
    
    Enfin je me déchaînais jusqu’à ce qu’elle jouisse bruyamment.
    
    « J’ai tellement mal aux fesses ! Mais c’était si bon ! »
    
    Allongée à ses côtés, je la serrais dans mes bras en l’embrassant.
    
    C’était à mon tour d’être caressée, elle reprit sa tache.
    
    « Je pourrais voir votre sexe en vous caressant ? »
    
    « Bien sur, viens, penche toi sur ma chatte »
    
    Ces doigts reprirent leur ballet.
    
    « J’aimerais vous poser une question »
    
    Toute à mon plaisir, je ne pus que hocher la tête en signe d’acquiescement.
    
    Son visage était collé à mon entre-jambes lorsqu’elle s’exprima.
    
    «J’ai aussi beaucoup de traces blanches à l’intérieur de ma chatte ? »
    
    Intriguée, je me relevais pour la regarder.
    
    « Même plus ! Je vais te montrer les photos que j’ai prise plus tôt »
    
    Je fis défiler les clichés.
    
    Elle rougit, gênée.
    
    « Le Maître ne va pas être dégouté ? »
    
    Je souris « Il est comme moi, il aime les chattes négligées ! »
    
    « J’ai honte de me présenter comme ça »
    
    « Tu as raison et il aime que tu aies honte. Caresse moi maintenant »
    
    Zohra me fit jouir.
    
    Je lui proposais de dormir chez moi. Elle prenait son service tard le lendemain, elle accepta.
    
    Se tenir l’une à côté de l’autre sans pouvoir se lécher ou se doigter fut un supplice ; on se contenta de se caresser.
    
    Le lendemain matin, rendez-vous fut prit pour sept heure, chez moi.
    
    Je la conduirai chez Pierre.
    
    A suivre
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