1. Pornstars


    Datte: 03/09/2018, Catégories: ffh, grossexe, piscine, Transexuels facial, Oral double, Humour Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... s’il accepte de se faire enculer.
    
    J’éclatai de rire, ce qui décontenança encore un peu notre interlocutrice.
    
    — On ne fait rien en dessous de quinze mille chacune, rétorqua fermement Laetitia. Et nous ne sommes pas des débutantes.
    — Hein ? ! ? Mais vous êtes folles ! Où vous croyez-vous ? Je ne travaille pas pour Bruckheimer ! Les producteurs ne suivront jamais !
    — C’est à prendre ou à laisser.
    
    La pauvre réalisatrice soupira.
    
    — À ce tarif-là, j’accepte de jouer gratos ! lui dis-je en riant, pour lui remonter le moral.
    — Il faut que j’appelle mon producteur, finit-elle par nous annoncer.
    
    Elle s’éloigna pour téléphoner pendant que l’énorme Shawna était en train de passer sur un ordi la scène qu’elle venait de filmer.
    
    — Je n’avais jamais fait gaffe que je gueulais comme ça… s’étonna Laetitia.
    
    ***
    
    — Je lui ai envoyé quelques passages de la vidéo que nous venons de faire ; il est d’accord avec moi : vous êtes superbes ! Mais il ne montera pas au-dessus de quinze mille pour les deux.
    — Bon okay ! fit Laetitia en se levant. Tu viens, Pauline, on y va ?
    — Mais attendez ! s’affola Miss Trenton. Vous ne vous rendez pas compte ! C’est le double de ce que je vous avais proposé ! Une offre comme ça, ça ne se refuse pas !
    — Ben nous on refuse… trente mille pour les deux, c’est ça ou rien !
    — Je n’ai pas les moyens de céder à vos caprices de stars ! s’énerva la réalisatrice, avant de reprendre son téléphone en soupirant.
    
    ***
    
    Laetitia lâcha à quinze ...
    ... mille dollars pour Pauline et dix mille pour elle-même, ce qui avait rendu folle de rage l’ex-pornstar qui s’était débattue avec son producteur (et devait surtout être verte de n’avoir jamais gagné que la moitié de ça même au plus fort de sa carrière). On relut dix fois nos contrats avant de les signer de noms d’emprunt, on y fit ajouter des tas de mentions pour nous dégager de toute obligation autre. Miss Trenton s’arrachait les cheveux. Mais rendez-vous fut finalement pris pour le surlendemain aux studios Pasadenas en banlieue de Los Angeles.
    
    On passa la journée qui suivit et celle du lendemain à Las Vegas, à flamber dans des casinos. Laetitia mit le feu à une table de roulette, et Pauline gagna dix mille dollars d’un coup sur un blackjack improbable, mais on reclaqua presque tout et on ressortit de notre week-end au pays des jeux guère plus riches qu’on y était arrivés.
    
    En quelques heures de taxi, on fut vite aux studios Pasadenas, qui étaient en fait une simple baraque plutôt classe avec piscine, sauna, et tralala, mais qui n’avaient rien de vrais studios. Toute une fine équipe nous attendait là : Lisa Trenton et sa catcheuse, le producteur, un coproducteur, une accessoiriste, une maquilleuse, et deux autres mecs et trois autres nanas qu’on supposa être des acteurs.
    
    — Vous croyez que l’une d’entre elles est notre « futa », demanda Pauline à voix basse et en français.
    
    On haussa les épaules. Miss Trenton présenta mes compagnes à tout le monde comme « les deux ...
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