1. Pornstars


    Datte: 03/09/2018, Catégories: ffh, grossexe, piscine, Transexuels facial, Oral double, Humour Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... fut pas meilleur ; on continua de déambuler dans les avenues new-yorkaises, dans les grands magasins, dans les taxis jaunes… Mais les Américains, qui ont par ailleurs un bon côté puritain, ne dédaignent pas tous une bonne baise un peu délirante ; et il se trouvait qu’un club de nuit sévissait à quelques pas de notre hôtel. Et Pauline estima que ça tombait bien, comme on savait pas quoi faire le soir venu…
    
    Laetitia et moi étions plutôt explosés, avec les balades interminables et le décalage horaire, mais notre compagne sut nous motiver, et nous débarquâmes tout propres et fringants à presque minuit dans le « Sugar Mansion », club libertin de son état. Je ne les avais pourtant pas fait picoler, mais Pauline et Laetitia mirent encore le feu à la boîte ; à peine une heure après qu’on y fut entrés, elles étaient en train de faire un show incroyable en plein milieu de la partie commune, à se bécoter en se pelotant de toutes leurs forces.
    
    Un gradé en costume leur suggéra de prendre une alcôve, mais elles en avaient rien à foutre et elles se désapèrent bientôt complètement sous les yeux ravis des clients. Et comme j’avais la gaule et que j’entendais autour de moi des trucs comme « j’irais bien me taper la nana et le trans », je les rejoignis sur l’espèce d’estrade où elles s’étaient mises à baiser, pour montrer à tous ces clowns que c’était pas un trans. Je n’aurais jamais cru être ainsi capable de sexer devant tout un tas de gens, mais l’ambiance et l’excitation furent les ...
    ... plus fortes, et je défonçai bientôt Pauline en la portant cuisses grandes ouvertes dans mes bras face à la foule pendant que Laetitia la suçait profondément.
    
    — Ouaouh ! Super show ! nous félicita un gars qui était au premier rang, tandis que les filles et moi nous rhabillions après qu’on ait giclé chacun notre tour sur le visage de Laetitia.
    
    On le remercia de son appréciation, mais le type avait l’air de vouloir papoter et poursuivit :
    
    — J’ai d’abord cru que vous étiez un trans, expliqua-t-il à Pauline, qui le regardait avec de grands yeux ronds. Mais j’ai vu ensuite que je me trompais. J’avais déjà vu des films de dickgirls mais je ne pensais pas que ça existait pour de vrai. Surtout d’aussi belles que vous !
    — Dickgirls ? répétai-je en découvrant le terme.
    — Yes, dickgirls, girls with dick… futanaris…
    
    J’en apprenais tous les jours. Mais son blabla donna une idée à Laetitia ; une idée qu’on aurait sans doute déjà dû avoir eue, mais qui nous avait même pas effleurés : les films de boules. Les « dickgirls », les « futas » étaient forcément des trucs exploités par les industries pornos.
    
    — Vous en avez, des films comme ça ? lui demanda-t-elle. Vous savez où on peut en trouver ?
    — En sex-shops, probablement. Mais oui, je dois en avoir chez moi. Pourquoi ? Vous en cherchez ?
    — On cherche d’autres dickgirls, lui répondit Pauline sans détour.
    
    Le type bavait à moitié en s’imaginant sans doute déjà baiser avec plusieurs « dickgirls ». Mais il finit par se reprendre ...
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