A - Histoires de Sexe

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... avec ses amants de passage, lui indique qu’elle doit le laisser se ressaisir un instant, si elle ne veut pas gober tout son foutre trop tôt !

Elle l’invite donc à se redresser et à s’asseoir juste en face du smartphone. Puis, elle se saisit d’un préservatif qu’elle a extrait de son sac à main… montrant ainsi à son compagnon du moment qu’elle est une femme ô combien avertie et libertine ! La capote entre ses minces doigts élégants, elle la pose sur la bite dressée à la verticale et, tournant son visage vers l’objectif qui l’observe, elle ouvre sa bouche sur le sexe pour l’enfiler lentement en avalant le tout. De ses lèvres, elle déroule le préservatif jusqu’au plus bas possible et s’assure par quelques contractions de ses joues qu’il soit bien en place.

— Voilà, mon chéri, dit-elle en s’adressant à son amant qui l’observe loin d’elle. Comment veux-tu qu’il me prenne ? Par-devant ou par-derrière ?
— Mais c’est toi qui choisis, comme toujours ! Tu fais comme tu le sens et je te vois très bien là…
— Je me ferais bien une bonne sodomie, tu sais, ça fait trop longtemps que je ne me suis pas fait défoncer mon petit trou !
— À toi de voir, mais surtout jouis bien pour nous deux… répond-il.

Bien décidée à profiter du moment rare qui se présente à elle, Patricia se relève et, nue dans l’habitacle, sauf ses bas et ses chaussures, les fenêtres ouvertes vers le bois, elle enjambe son partenaire en lui tournant le dos. Son adorable fessier si doux tendu vers lui, elle glisse ...

... une main sous elle pour saisir la queue dressée qu’elle vient de couvrir. Elle se sert du gland comme d’une petite massue pour se tapoter la chatte et énerver encore un peu plus son clito. L’homme comprend l’intention et lui facilite la chose en prenant lui-même son sexe à pleine main, pour poursuivre les frappes rapides desquelles naissent de petits chuintements dus à la mouille étalée ; la belle libertine sent que, très vite, sa jouissance est relancée par ce branle et, penchée en avant vers le smartphone qui la filme, elle geint et en réclame plus encore.

Trop excitée pour en supporter plus, elle dirige le braquemart vers sa raie des fesses, et demande à l’homme de la prendre par « son petit trou » directement. Elle sent le gland brûlant tâtonner autour de son anus déjà bien assoupli et, d’elle-même, se pose dessus alors que l’autre se tient la bite bien droite pour qu’elle puisse s’y planter. Alors, le regard fixant l’objectif de l’appareil devant elle, tout sourire et les yeux pétillants de malice, elle s’enfonce très lentement et redécouvre cette sensation qu’elle affectionne tant, le passage du gland au-delà du sphincter, puis l’ouverture de son anus, lequel absorbe tout le sexe masculin conquérant.

Elle se tend en arrière en sentant la chaleur des couilles appuyées contre son sexe, puis roule de ses reins pour masser la bite qui la remplit. Trop troublée par la scène, elle imagine son amant de cœur en train de se masturber en la regardant faire. Elle s’agite ...