Oh mon soumis... (1)
Datte: 20/02/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Thrùd, Source: Xstory
Oh mon soumis, que tu es magnifique dans ton uniforme. Tu as l’air si viril, si puissant. Combien de personnes peuvent deviner qu’une fois la porte fermée, tu ne seras plus rien de tout cela ? Qu’une fois que j’aurais verrouillé cette serrure, je serai ta raison et ta volonté alors que tu te laisseras complètement aller ? Mais pour l’instant, tu portes nos affaires, tu ouvres la voie. Les femmes te regardent et se retournent sur ton passage. Elles te croqueraient bien, je le vois dans leur regard. Mais peuvent-elles seulement imaginer ce que tu aimes ? Ce qui te fait perdre pied ? Je resserre ma prise sur ton bras ; ne t’en fais pas, je suis là. Mes talons claquent sur le trottoir, tu reconnais ce bruit et tu le redoutes autant que tu l’apprécies. Lorsque tu ne les entendras plus, tu ne pourras prévoir ce qui va t’arriver. La porte du hall se referme et la moquette empêche mes talons de résonner. Je te sens te tendre, tu attends avec tellement d’impatience que cette porte se referme.
Trois étages à monter, et interdiction de prendre l’ascenseur.
Chaque marche que tu gravis augmente la tension entre tes épaules, augmente ton appréhension, augmente ton envie. Si seulement la porte pouvait claquer tout de suite. Mais je ne suis pas prête à te laisser céder aussi facilement. Alors je ralentis le pas. Je monte les marches plus doucement et tu le sais. Je t’entends piaffer dans mon dos, tu voudrais pouvoir me charger sur ton épaule et monter les marches quatre à quatre. Mais ...
... quel plaisir en retirerai-je ? Marche après marche, l’appartement se rapproche. Tu trépignes dans mon dos. Il t’est de plus en plus difficile de rester calme. Tu aperçois pallier, tu entends le cliquetis de la clé dans la serrure, le grincement de la porte. Comme tu es magnifique dans cet état. Si tu pouvais, tu remuerais la queue tel un chiot qui attend sa friandise. Tu entres enfin dans l’appartement. Et toute tension disparaît miraculeusement alors que je vois tes épaules se détendre.
Tu déposes soigneusement mes affaires avant de te mettre à genoux lorsque tu entends enfin la porte claquer.
Alors que je pose les yeux sur toi, agenouillé sur le sol de l’entrée, tu sors ton collier de ta poche. Ce simple bout de cuir muni d’un anneau et fermé par un cadenas. Oh mon soumis que tu es magnifique lorsque tu t’offres à moi aussi simplement. Je ne peux résister à l’envie de te caresser le visage et de t’embrasser avant de verrouiller ton collier. Alors que je t’admire, je me dis que je ne peux rester dans cette tenue. Cette simple robe n’est pas digne de toi. J’attrape mes affaires et disparais dans la salle de bain alors que tu restes agenouillé dans le hall sans avoir le droit de lever les yeux ou d’émettre le moindre son. Crois-moi, je le fais à contrecœur, mais je saurai récompenser ton attente. Lorsque je ressors de la salle de bain, la petite robe légère que je portais a été remplacée par un corset de cuir. Mes jambes sont à peine recouvertes de mes jarretelles et mes ...