Ma féminisation (histoire vraie) (5)
Datte: 19/02/2023,
Catégories:
Divers,
Auteur: Joanne, Source: Xstory
... chaleur me prit. La bite de Valentin était magnifique. Elle était large comme trois doigts et faisait au moins 18 centimètres. Je fus comme hypnotisée à sa vue.
Voulant savourer chaque instant, je pris d’abord la base dans une de mes mains, qui faisait à peine de tour de son membre. Il était chaud et tout dur. Je léchai ensuite la hampe jusqu’au gland, puis apposai un baiser. Nous lâchâmes tous deux un gémissement timide à ce moment-là, ce qui m’excita encore plus. Je sentis une goutte de mouille s’échapper de mon « clitoris ».
Je le pris ensuite en bouche, avec un petit peu de difficulté pour contenir toute sa largeur. Je m’appliquai à serrer mes lèvres et à saliver pour que ce soit le plus plaisant possible pour lui. J’effectuai des va-et-vient lents, sensuels et réguliers comme je m’étais entraînée à le faire avec mon gode. Ma langue vint parfois caresser son frein et sa hampe. Je n’arrivai à mettre que la moitié de sa bite dans ma bouche, mais cela suffisait pour entendre ses râles de plaisirs envahir la pièce. Elle était délicieuse, je profitai pleinement du moment, je l’avais attendu depuis si longtemps.
Après quelques minutes de fellation, je pris ma respiration et me mis ensuite à lécher et sucer ses bourses. Elles étaient grosses et lourdes. Une telle virilité se dégageait de ses parties génitales, cela n’avait rien à voir avec les miennes. Je le branlai doucement avec une main pendant que je trempai littéralement ses couilles avec ma salive.
Tout juste ...
... une minute de ce traitement et Valentin retira son pantalon et son caleçon de ses chevilles, il enleva son t-shirt et se dirigea vers le sofa. Il mit le coussin posé dessus au sol et s’installa.
— Quelle délicate attention, dis-je en souriant et me mettant à genoux sur le coussin, face à lui.
Il ne répondit pas, mais son regard m’ordonna de passer à l’action.
Je caressai ses cuisses en regardant le reste de son corps maintenant nu (excepté ses baskets qu’il avait gardées). Son torse était bel et bien musclé comme je l’avais deviné, et légèrement poilu. Malgré une fine couche de graisse, on pouvait clairement distinguer ses abdominaux larges et puissants.
J’embrassai sa poitrine et descendis vite pour reprendre là où je m’étais arrêtée. Je repris sa grosse bite en bouche d’un coup, du moins autant que je pus, et recommençai les va-et-vient en baissant et remontant ma tête. Je sentis son gland et des veines glissèrent sur ma langue à chaque mouvement, ce qui me rendit folle d’excitation et m’encouragea à poursuivre avec encore plus d’enthousiasme.
Valentin me prit ensuite la tête fermement avec sa main droite et de lui-même vint me baiser la bouche et imprimant des coups de reins. Heureusement, il n’alla pas trop vite et me laissa le temps de déguster chaque millimètre de sa bite à chaque mouvement. Nos gémissements n’étaient plus du tout timides, et nous exprimions maintenant notre plaisir sans complexe. Je vins masser ses testicules pendant qu’il me baisait la ...