1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1499)


    Datte: 19/02/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... satisfait de la tension qu'Il venait de provoquer en moi et qu'Il avait pu ressentir malgré mes efforts pour demeurer immobile dans le divin supplice.
    
    - Nous allons le laisser ainsi un moment, dit-il à la soumise qu'il enlaçait dans sa nudité offerte. Et je demeurai là, immobile, le corps parcouru de la morsure des pinces... Le Maître et Sa soumise quittant la pièce.
    
    Je ne saurai dire combien de temps cela dura, mais je ne puis qu'entendre les gémissements sans retenue de Chloé subissant avec la plus totale impudeur les assauts répétés du Maître qui devait visiblement la besogner à grands coups de reins. Elle jouissait sans la moindre retenue, suppliant Le Maître de la prendre encore et encore ! La morsure des pinces se faisant à chaque instant plus profonde, j'avais du mal à suivre les ébats sexuels qui se déroulaient, supposai-je, dans la chambre de la jeune femme. Mais je compris que la belle femelle avait l'honneur d'être possédée sans limite par le jeune Marquis Edouard d'Evans, qui ne négligeait aucun de ses orifices qui naturellement ne sauraient avoir de devoir plus absolu que d'être offerts au Maître et de Lui procurer la plus totale Jouissance. Ce que fit avec enthousiasme soumise Chloé qui était manifestement prise au plus divers sens du terme... Longtemps après, donc, le Maître et Chloé revinrent dans la pièce où je subissais douloureusement la multiplication des pinces sur la quasi-totalité de mon corps nu.
    
    - Il est temps de libérer ce chien de ces ...
    ... pinces, commenta le Maître. Et pour cela tu vas avoir besoin d'un autre instrument, dit-Il à Chloé, lui tendant maintenant une cravache. Tu vas t'appliquer à faire sauter les pinces une à une, poursuivit-Il. Il faut frapper juste, sèchement mais d'un petit coup pour faire sauter la pince, sinon elle se détache mal. Commence et sois précise, si une pince est mal détachée, nous la replacerons sur son corps... Allons, va !… Et toi, le chien, je ne pas t’entendre… Aucun son ne doit sortir de ta bouche de pute…
    
    Reprenant place dans le fauteuil d'où Il pouvait contempler la scène dans son ensemble, le jeune Edouard d'Evans observait Sa soumise Chloé testant Son caractère dominant sur l'esclave que je suis, contraint à la plus passive servilité et grimaçant en silence sous la multitude de pinces colorées qui décoraient mon corps douloureusement tourmenté. Une érection commençait à poindre, tant cela m’excitait d’être ainsi malmené, mais elle fut réprimée par ma cage de chasteté et ainsi comprimait ma nouille qui tentait de gonfler de volume… Chloé bien que débutante me cravachait, moi simple esclave, avec une précision appliquée, elle faisait de son mieux afin que chaque coup de cravache fasse sauter une pince à la fois et une seule. Lorsque, par manque d'expérience une pince était mal détachée, la belle soumise s'approchait, enlevait la pince, ce qui fut très douloureux à chaque fois, et la replaçait ailleurs sur mon corps meurtri, puis elle regagnait sa place, levait la cravache et ...