Ma mère, asservie. (6) - Histoires de Sexe

Ma mère, asservie. (6)

... si Doriane n’en reveut pas un p’tit coup alors.

— Non ! Reste.

— Alors vas-y, dis-je en sortant mon sexe sous ses yeux. Prends-la dans ta bouche.

J’agite mon sexe devant son visage rougi, cognant mon gland contre ses joues ce qui lui déclenche un soupir. Elle jette un œil à Louis, toujours affalé sur le canapé, vérifie qu’il ne peut rien voir et abdique enfin. De ses lèvres roses jaillit sa langue, qui vient directement flatter mon gland. Cette douce chaleur humide s’empare bien vite de mon membre, comme si elle en mourrait d’envie.

— Putain ! Si tu savais comme ta bouche m’a manqué …

— Chut… Sois discret.

— Alors avale !

Et sur ces mots, j’empoigne ses cheveux avec force et plonge mon sexe dans sa bouche sans plus de sommation. Me retrouver le sexe enfoui dans sa si délicate cavité est si bon, que je ne peux retenir un grondement. Ma mère, la bouche pleine, me jette un regard réprobateur, pourtant elle aspire mon membre avec gourmandise. Consciencieuse, elle me suce avec ferveur, s’amusant à pétrir ma hampe de sa langue. Le son de la télévision couvre les bruits de succion, si bien que Louis ne capte rien du tout.

J’ai envie de profiter mais vu l’urgence de la situation, il faut que je fasse vite. Mes deux mains se perdent dans ses cheveux, agrippent son crâne pour forcer sa gorge, dans laquelle je m’engouffre entièrement. Le nez collé à ma toison pubienne, elle toussote et tente de résister le plus longtemps possible. Je la bloque et donne les ...

... ultimes coups de reins qui me propulsent vers la jouissance. Mon sperme se déverse dans sa gorge, chaud et épais, coulant directement au fond de son gosier et moi je retiens mes grognements, histoire de ne pas nous faire prendre.

Lorsque je me retire, je vois des larmes couler sur ses joues. J’ai honte de me sentir si excité par cette vision… Pourtant un grand sourire se dessine sur son visage et, alors qu’elle s’essuie les yeux et le menton, elle me chuchote doucement :

— J’espère que ça t’a plu.

— Tu ne peux pas savoir à quel point. Merci.

— S’il te plaît Tobias, ne la fais plus venir à la maison.

— Comme tu veux. Sache que si tu le quittes, je la quitterai aussi.

— Mais enfin Tobias, il n’est pas question de cela.

— C’est à toi de voir Man. Bonne nuit.

Je retourne dans ma chambre, retrouver Doriane qui dort profondément, affalée sur le lit. C’est fou comme cette fille ne me fait plus autant d’effet qu’avant. Elle est pourtant belle avec son mètre soixante-dix, sa taille fine et son joli carré court. Je n’avais jamais eu à me plaindre de ses pipes avant de découvrir celles de ma mère, si parfaites !

J’ai bien fait de prendre ce risque, ça valait vraiment le coup. Tout comme j’ai bien fait d’écouter les conseils de mon pote Max. Elle a eu l’air d’adorer cela.

Je la veux. Encore. Je sais qu’elle aussi. Il faut que je trouve un moyen de mettre Louis sur la touche.

Ce type a une influence trop forte sur elle et bien trop néfaste. Qu’arrivera-t-il le ...