Venom X (8) - Histoires de Sexe

Venom X (8)

... commençait à avoir chaud en sentant tous ses yeux sur son cul, elle avait une envie folle à soulever sa jupe pour leur offrir son cul et qu’ils l’enculent tous l’un après l’autre.

Mais la porte de l’ascenseur s’ouvrit de nouveau, laissant entrer un nouveau flot d’employés, ce qui la frustra davantage, alors étrangement, et contrairement à ses habitudes, elle se recula vers le fond de l’ascenseur pour laisser entrer les personnes plongées dans leur smartphone.

Elle se recula jusqu’à sentir la bite bien dure de Brian contre ses fesses, celui-ci la laissa faire, et une fois les portes de l’ascenseur refermées, tenta de poser ses mains sur les hanches fines de sa cheffe.

Elle le laissa faire et alors que l’ascenseur n’avait pas encore repris sa course, elle commença à osciller du cul le long de cette queue qui lui faisait tellement envie.

Brian n’en croyait pas ses yeux; et pourtant, sa cheffe le branlait avec son cul, il ne lui en fallait pas plus pour qu’il tente de soulever sa jupe, il s’était souvent demandé en matant son superbe petit cul, tout en se branlant sous son bureau, ce que sa cheffe pouvait bien porter sous ses tailleurs.

Lorsqu’Anne sentit Brian remonter doucement sa jupe, elle sentit son cœur s’emballer, elle regardait toujours les autres hommes lui mater les fesses, si elle ne faisait rien, ils allaient tous découvrir qu’elle était complètement nue sous sa jupe.

Mais elle n’arrivait pas à s’empêcher de faire coulisser la bite bien dure de ...

... Brian entre ses fesses, facilitant ainsi l’ascension de sa jupe.

En à peine quelques secondes, sa jupe était remontée jusqu’à la moitié de ses fesses, elle vit les hommes commencer à se caresser la bite à travers le pantalon; sans pouvoir se retenir plus longtemps, elle attrapa les bords de sa jupe et la retroussa complètement sur ses hanches, offrant la vue de ses superbes fesses à tous les hommes derrière elle.

Elle tourna la tête vers Brian, et lui dit juste assez fort pour que les hommes derrière elle puissent l’entendre :

— Mets-la-moi dans le cul, j’adore me faire enculer.

Brian n’en demandait pas tant, il venait de découvrir que sa salope de cheffe était à poil sous son tailleur, et elle venait de lui demander de l’enculer.

Il sortit sa bite, et la plaça contre son anus qui palpitait d’envie.

Anne, en grosse salope, se tenait les fesses bien écartées et regardait les autres hommes dans les yeux, en sentant la bite de Brian s’enfoncer doucement dans son cul.

Elle ouvrit suffisamment sa veste et son corsage pour offrir la vue de ses seins et de ses tétons bien durs, en leur disant :

— Si vous résistez assez longtemps, ce sera à votre tour après.

Anne sentit que Brian lui avait enfoncé toute sa queue, quand les portes de l’ascenseur s’ouvrirent de nouveau, elle avait maintenant les fesses et les seins à l’air, et surtout, une bonne bite plantée dans le cul.

Mais plus rien n’importait, et heureusement pour elle, les gens ne faisaient que ...