Un plaisir partagé est un plaisir double (23)
Datte: 18/02/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Chantalbob, Source: Hds
... des cordes, un collier, une paire de menottes, un bandeau, des pinces, une cravache. Je mouillais intensément à l’idée de ce qui allait se passer.
« - Je suis prête Monsieur Jean ! »
Іl mit le bandeau sur mes yeux, me fit mettre à genoux, il me suffisait de me laisser guider, de me laisser faire. Je sentis la corde entourer ma poitrine, au-dessus et en dessous de mes seins et se serrer dans mon dos, puis il me mit le collier autour du cou, des pinces sur mes tétons. J’avais mal, je criais et j’ai reçu mes premiers coups de cravache sur les fesses.
« - Tu souffres en silence, je ne veux pas t’entendre. ».
Mais impossible pour moi de ne pas gémir et j’ai compris rapidement que l’intensité de mes cris augmentait celle des cours de fouet et j’en étais déjà accro ! А quatre pattes dans la pièce il pratiqua un fist dans ma chatte avant d’insérer dans mon petit trou un crochet anal.
Quand je sentis la corde relier le crochet au collier que je portais autour du cou, je me sentais totalement soumise à mon Maître, dès cet instant je lui appartenais totalement. Іl me promena comme une chienne en me guidant avec le crochet, m’amena dans une autre pièce ou j’ai aperçu des grandes cordes qui pendaient. Іl m’attacha alors les chevilles à ces cordes à l’aide de bracelets de cuir, les mains menottées a un anneau fixé au sol. J’étais suspendue, les jambes en l’air très écartées et les mains au sol au-dessus de ma tête.
Je rêvais de sa queue dans mon ...
... vagin, mais je n’y avais pas le droit de suite, loin de là. Іl prit in vibromasseur et commença à me torturer dans tous les sens. Іl le passait sur mes tétons, très sensibles après avoir retiré les pinces, sur mon clitoris et dès que j’approchais de l’orgasme, il le retirait. Mon corps convulsait, bougeait dans tous les sens, j’étais prisonnière de ses stimulations sexuelles. Je n’avais plus de bandeau sur les yeux et pendant qu’il continuait de ma torturer le clito, il m’enfonça son sexe en érection dans la bouche et me força à lui lécher l’anus. Je n’étais plus moi-même, j’étais son esclave, son objet sexuel.
La suite de ma première séance de soumission fut si intense que tout se mélange encore dans ma tête. J’avais perdu totalement le contrôle de mes pensées et de mes sens. Je fus baisée, sodomisée, fouettée. Je me souviens avoir été pris à quatre pattes la tête à terre et les mains menottées dans le dos. Le SM n’était plus un fantasme, c’était devenu une évidence et ma sexualité s’en est trouvée transformée et enrichie. Je suis toujours en relation avec Maître Jean, je suis même devenue membre à part entière des sympathisants du donjon sous un numéro de code. Mon Maître m’appelle parfois pour me demander si je veux participer à une assemblée d’adeptes du SM. Bien que nous soyons tous masqués pour garantir l’anonymat des personnes présentes, je sais très bien que je rencontre des hommes et des femmes de la haute société.
Annie ne m’avait pas interrompue. ...