1. Mes vacances torrides au Mexique


    Datte: 03/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Scenar-O-Tel, Source: Hds

    ... sais pas ce que j'aurais donné pour sentir un mec me gifler avec sa grosse bite et m'obliger à l'avaler jusqu'à en tomber dans les pommes. J'adore ces moments où un mec me défonce ma petite gueule de salope soumise jusqu'à ce que ma bave vienne lui caresser les couilles.
    
    C'est à ce moment là que vint Ricardo le jeune jardinier mexicain. Ses muscles saillants me faisait penser à un merveilleux rebeu que j'avais connu sur Sky et qui m'avait offert des nuits de folies. Je décida de tester si la comparaison était à son avantage.
    
    Il avait son tuyau d'arrosage à la main et passait de l'eau dans les thuyas. Je me postais sur le ventre, le cul bien cambré et les cuisses écartées comme si j'imaginais que ma petite clémence venait me bouffer la chatte. Mes doigts continuait à jouer avec mon clito par dessous les lanières de mon maillot.
    
    J'étais perdue dans mon monde obscène quand je sentit une main venir caresser mes cuisses. Je rouvris les yeux surprise, c'était Ricardo qui n'en tenant plus était venu s'asseoir près de moi. Son autre main passait et repassait sous la bosse de son jean.Il attrapa ma main pour que je fasse la même chose. Mon dieu, c'était énorme. J'avais pensé qu'il me faisait une farce en ayant caché le tuyau d'arrosage dans son jean, mais je devais me rendre à l'évidence une fois ma main entrée à l'intérieur : c'était gros, c'était chaud , c'était veineux...hummm. Juste la toucher me donnait des frissons de plaisir. Il tenait ma main en me répétant "Chupa, ...
    ... Chupa.." .Mes cours d'espagnol n'était pas des plus récents mais j'avais cru comprendre que cela voulait dire "Suce, Suce". Chose que je ne lui fit pas répéter deux fois.
    
    Je sortis son énorme engin de son boxer blanc, le tissu était déjà taché de goutte de pré-sperme. Je portait son gland à la bouche pour bien en aspirer les gouttes, le goût exquis n'annonçait que du bon pour la suite des événements.
    
    Ma langue venait lui chatouiller son énorme gland circoncis, je lui donnait de petits coup de langue comme une chatte qui lape son lait. Humm, ses gémissements me montrait qu'il devait aimer ça. Puis je pris son chibre à pleine main, et commença a passer ma langue sur ses couilles. On les sentais pleines et prête à exploser. Les scènes que je lui avait imposée avec Clémence ne devait pas être étranger à cela. Ma main avait du mal à faire le tour de sa queue et j'essayais d'imaginer comment il arriverait à me la rentrer dans le cul. Vous le savez mes chères lecteurs, je n'ai rien contre une bonne bite dans mon cul de salope, mais celle ci avait l'air bien trop grosse pour moi. Vous comprendrez par la suite comment mon cher jardinier s'y est pris pour me la rentrer entièrement.
    
    J'avais donc ma langue posée sur ses couilles quand il décida de passer à la vitesse supérieur. Il m'attrapa comme une brute par les cheveux et essaya de forcer l'entrée de ma bouche. Il devait croire que je faisais exprès de ne pas laisser entrer sa bite dans ma bouche mais elle était tellement ...
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