La bourgeoise et le marabout (56)
Datte: 16/02/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... délicates lèvres de mon sexe et perchée haut sur mes escarpins, les queues se dressent au garde-à-vous comme si je passais en revue une troupe de militaires à poil.
Les hommes me fixent de leurs prunelles sombres et je devine l’envie bestiale qui les anime. François leur dit.
— Regardez cette salope ! Elle s’est habillée comme une pute pour la circonstance.
Après un échange de regards complices avec mon mari, mon marabout s’approche de moi et me retire lui-même mon string. Il m’oblige à me mettre à genoux sur un coussin puis me lie les poignets dans le dos avec mon string.
Il se tourne ensuite vers Maurice et lui fait signe. Celui-ci s’approche, puis me fixe une pince à sein au bout de chaque téton. Une douleur aiguë irradie toute ma poitrine, mais cela n’empêche pas mes pointes de s’ériger comme si cela les excitait.
Une fois à genoux, poignets attachés dans le dos, François se place devant moi, ouvre sa braguette, sort son sexe et me le plante dans la bouche. Puis il dit à ses complices.
— Approchez-vous et arrosez-la !
Les queues se rapprochent, je peux sentir l’odeur âcre et puissante de ces bites qui s’activent à la hauteur de mon visage et de mes cheveux. La queue de mon mari, bien que plus petite que celle des autres, est bien raide et m’emplit la bouche tout en cognant régulièrement au fond de ma gorge. Un peu en retrait, Monsieur Coulibadou et son assistant sont les seuls à ne pas se branler. Monsieur Maurice est particulièrement excité par la ...
... situation. Il dit à François.
— Depuis le temps que votre salope de femme vient s’exhiber dans mon magasin, j’ai une de ces envies de me soulager sur elle.
François lui répond.
— Ne vous gênez pas, elle est là pour ça !
Les uns après les autres, les cinq hommes crachent leurs longs jets de foutre sur mon visage, dans mes cheveux et sur mes épaules. C’est tellement abondant qu’ils n’avaient pas dû baiser ou se branler depuis le début du confinement. François jouit dans ma bouche et laisse sa queue en fond de gorge pour m’obliger à tout avaler.
La substance grasse et blanchâtre des mâles coule sur ma poitrine et dans mon dos. Tous les cinq se secouent bien la queue en se malaxant les bourses pour bien en extirper les dernières gouttes. Une fois la chose faite, à l’exception de Maurice, ceux qui se sont vidés sur moi repartent vers l’étage.
François m’aide à me lever puis, tirant un peu sur les pinces pour me faire gémir, m’oblige à m’appuyer des deux mains sur un petit meuble. Je l’entends dire à Monsieur Coulibadou.
— Maître, elle est maintenant à vous et à votre assistant.
Mon marabout fait un signe à Ahmed qui s’approche, se colle contre mon dos et me pénètre sans ménagement. Tirant sur les pinces, il me besogne à grands coups de bite. Tandis qu’une onde de douleur émerge de mes seins, une vague de chaleur se répand dans mon ventre. Mes gémissements sont un exquis mélange de douleur et de plaisir. Dans un ultime coup de boutoir, l’assistant se répand ...