1. Le jour où je suis devenu bi


    Datte: 16/02/2023, Catégories: Gay Auteur: Gerald93, Source: Xstory

    ... m’approcher doucement de lui. L’odeur de coco supplanta toutes les autres. Je bandais aussi, sans m’en rendre compte. Il a lâché sa queue et m’a regardé, puis a posé la main sur sa serviette. En fait, il semblait me l’offrir.Vas-y, à ton tour,paraissait me dire son langage corporel. Elle était belle, plutôt fine et longue, tout à son image, et totalement épilée. Alors, j’ai posé mon sac et ma serviette, je me suis agenouillé à coté de lui. Puis j’ai demandé timidement
    
    — Je peux toucher ?
    
    Il n’a pas répondu, mais s’est redressé sur les coudes.Il est peut-être étranger, n’a pas compris. C’est peut-être mieux ainsi. En fait, il attendait. Alors j’ai regardé autour de moi pour vérifier que nous étions seuls et ma main droite s’est approchée fébrilement de son sexe. A cet instant, je me suis dit qu’enfin, j’allais assouvir un désir certainement refoulé depuis longtemps, mais qui ne s’était révélé qu’il y a trois jours. Ca y est je la touchais. Elle a avait frémi au premier contact. Maintenant elle était bien callée dans ma main, et j’adorais cette sensation.
    
    Lui m’avait souri et se laissait faire. J’entendais même des « Hummmm ». Peu importe la langue parlée, je comprenais qu’il appréciait. Tant mieux. Je ne voulais pas être maladroit, je ne voulais pas qu’il sache que c’était une première pour moi.
    
    L’huile de coco rendait sa verge glissante et agréable à branler. J’avais maintenant une terrible envie qu’il en fasse autant avec la mienne. Pour varier un peu, je ...
    ... descendis jouer avec ses couilles, aventura même un doigt au-delà. J’entendis :
    
    — Oui, c’est bon aussi, ça ! ».
    
    Ah, il était français ! Tant mieux, tant pis, je ne savais plus quoi en penser. Fatigué d’être en appui sur ses avant-bras, il s’allongea à nouveau, et me laissa faire sans bouger, tout juste en écartant un peu les jambes. Il bandait franchement maintenant, et je me rendis compte que moi aussi, encore plus que lui. C’était dingue.
    
    C’est là que tout bascula.Je ne sais pas si c’est l’odeur de coco qui me tentait, ou le fait qu’il ne me regardait plus, mais j’ai eu une grave envie de le sucer. Il avait l’air complètement offert, donc je ne lui ai rien demandé cette fois. J’ai approché lentement mon visage. Il n’y eut aucune réaction de sa part. Alors tout en maintenant sa bite droite, j’ai donné mes premiers coups de langue. Ce fût bien sûr le goût de son huile qui me parvint aux papilles. Je léchais du bas vers le haut en m’appliquant. J’essayais d’en faire le tour pour tout récupérer. Puis délicatement j’ai fini par prendre le gland du bout des lèvres, pour le faire glisser dans ma bouche.
    
    C’était irréel. J’étais, là, dehors, le cul en l’air, à la vue de tous, même si à priori, il n’y avait personne, en train de sucer un mec comme une pute ! C’était trop tard, j’aimais ça. Je l’ai sucé pendant une bonne minute peut-être. Je pensais à Aline, la directrice de l’école primaire de mes enfants. Jamais fellation ne fut aussi bonne qu’entre ses lèvres expertes. Aline, ...