1. Un coup vite fait dans le sous-sol.


    Datte: 13/02/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: KERO88, Source: Hds

    ... culotte et je devine une toison déjà humidifié par le désir qu’elle a pour moi.
    
    Je la fixe droit dans les yeux, tout en lui malaxant son petit minou. Je me dis que le bourgeois coincé qui lui sert de mec ne doit pas lui faire ce genre de choses. Il doit plutôt être position du missionnaire, une fois par semaine, le samedi soir après le film.
    
    Je commence à baisser son pantalon, qui glisse le long de ses cuisses, pour finir sur ses chevilles. Je l’assois sur le capot de la voiture, son jeans fini sa course par terre. Je dégrafe ma ceinture, ouvre la fermeture éclair de mon pantalon et libéré ma queue bandée qui n’en pouvait plus de se sentir à l’étroit.
    
    Je suis existé comme une puce, j’allonge Corinne sur je le capot de la voiture, elle écarte les cuisses, quand je me rends compte que j’oublié de lui enlever sa petite culotte en dentelle blanche. Tant pis, je ferais avec, je l’attrape par les cuisses, positionne son cul sur le bord du capot, je lui écarte le morceau de tissu qui masque son joli minou puis j’enfourne mon braque marre dans sa caverne humide.
    
    Je commence à lui labourer son petit jardin, tout en pensant à son mec qui pour une raison ou une autre risquait de débarquer à n’importe ...
    ... quel moment. Il faut faire vite, en plus de ça, la porte du box est restée grande ouverte, n’importe qui pourrait nous voir. Je la pilonne comme je n’ai encore jamais pilonné une nana, et pourtant je m’en suis déjà faite un certain nombre.
    
    La situation devient de plus en plus excitante, Corinne jouie, elle commence à pousser des cris qui risquent d’alerter le voisinage. Malgré l’intensité de l’acte, mon sperme ne veut pas venir. Mes mouvements de plus en plus rapides commence à me déclencher des crampes aux niveaux des cuisses. Je me retire, je prends quelques secondes pour reprendre des forces, je retourne ma partenaire pour qu’elle soit face au capot et l’enfourne de nouveau. Moins de 30 secondes plus tard, je sens la délivrance dans un jet de sperme chaud et un hurlement de bonheur de ma blonde.
    
    Je me retire définitivement, je reboutonne mon pantalon, Corinne se rhabille sans rien dire, juste un sourire qui me fait comprendre sa satisfaction. J’enfourche la moto et je quitte le box dans un vrombissement amplifié par les murs du sous-sol.
    
    Et dire que pendant des années, j’ai pensé que Corinne était une fille sage, voir même un peu coincé, elle cachait bien son jeu sous ses airs de sainte ni touche. 
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