Sextos à ma copine (1) - Histoires de Sexe

Sextos à ma copine (1)

... milieu...

J’espère tellement que tu prends autant de plaisir. Je murmure donc un « Je t’aime » à ton oreille, parce que oui, je t’aime énormément...

Tu n’as pas arrêté de frotter nos sexes, couverts, l’un à l’autre, je n’en peux plus et toi non plus. Tu descends donc pour venir t’agenouiller entre notre banquette et celle de devant, l’espace est étroit, mais tu t’en fous, j’écarte les jambes pour te laisser de la place et afin que tu puisses déboutonner et baisser mon pantalon. J’ai tellement hâte que tu me prennes en bouche, c’est chaud, humide et tu es très douée, j’adore la manière dont tu me suces ! Je dois bien dire que cette pipe dans ce train en marche est fabuleuse, mais il est plus que temps de te soulager aussi, surtout que si tu continues ainsi, je vais tout lâcher dans ta bouche...

Je t’aide donc à te relever et retire immédiatement ce short et ce string qui sont restés bien trop longtemps sur ton vagin excité, ça se sent... et ça sent bon !

Je te propose de venir te mettre en levrette sur les sièges alors que je prends position dans l’allée du train, ouverte à moi, j’en profite pour approcher mon visage de ton sexe. D’un coup de langue unique, mais lent, je viens te caresser en partant de ton clito, je remonte tout le long de ton vagin et continue jusqu’à ton cul. Ce n’est pas long, mais c’est une idée de ce que je compte te faire dès que nous aurons mis pied dans notre chambre d’hôtel ! Je viens donc finalement positionner mon sexe à l’entrée de ton ...

... vagin, je suis tellement dur que j’ai l’impression que je pourrais te transpercer...

Tu es tellement excitée que je n’ai nul besoin de forcer, on dirait que ton vagin m’aspire, qu’il n’attendait que moi...

J’accélère, mes va-et-vient sont de plus en plus rapides et mon bassin claque de plus en plus fort contre tes fesses ! Nous essayons de garder les yeux ouverts afin de voir le paysage défiler à la vitesse du train, mais le plaisir nous submerge, comme s’il n’y avait que nous dans le monde. Je te donne la fessée, je te tire les cheveux, je te prends par la gorge, j’attrape un sein, je regarde tes seins bouger à chacun de mes coups, tu ne peux t’empêcher de crier de plaisir et j’aime ça...

Je suis désolé mon amour, mais je ne peux plus me retenir...

Mon sexe a triplé de volume et il m’est devenu impossible de me contrôler, je suis maintenant obligé de me répandre en toi, j’espère que cela ne te dérange pas, je sais que tu aimes cela. Je n’en peux plus, j’ai l’impression que toute mon énergie est sortie de mon corps, mais le plaisir et le bien-être sont tellement forts que je souhaiterai ne jamais me retirer de toi !

Si seulement nous avions pu faire tout cela... Pour l’instant, je vais devoir garder cela dans un coin de ma tête et penser à ce que je te ferai dès que nous mettrions les pieds dans notre chambre d’hôtel... En attendant, je ne me prive pas de continuer à venir te taquiner et t’embrasser furtivement tout en cherchant continuellement ton beau regard.