1. Maison d'arrêt (1)


    Datte: 12/02/2023, Catégories: Transexuels Auteur: TALON1314, Source: Xstory

    ... devais absolument réussir mon examen pour entrer sous la protection du "boss", mais le liquide qui suintait de ma queue me rappelait qu’en vérité, j’aimais ce que j’étais en train de faire.
    
    Le souffle au-dessus de la table devint de plus en plus court. Je sentis le corps du boss se raidir et sa main se plaquer contre ma nuque. Il m’était impossible de reculer la tête et je reçus une énorme décharge de foutre au fond de la gorge. Je n’avais pas encore le réflexe d’avaler et je commençais à m’étouffer tandis que du sperme parvenait à s’échapper entre mes lèvres. Je dus rester en apnée le temps que mon boss finisse de jouir. Ce n’est que lorsque les dernières saccades jaillirent de son gland qu’il retira sa main, me permettant enfin de me dégager et de respirer.
    
    Je fus pris d’une quinte de toux et j’eus du mal à me rasseoir. Mon protecteur était plié de rire ainsi que tous ses collègues. Je pense même que toutes les personnes présentes dans la salle avaient le sourire. En tout cas, ce qui est sûr, c’est que s’il y avait une seule d’entre elles qui n’avait pas encore deviné ce que j’avais fait sous la table, elle le savait maintenant de façon certaine.
    
    J’étais maintenant assis avec du sperme plein le menton, devant une foule narquoise. Que pouvais-je faire ? Me fâcher ? Cela aurait été pire. La seule réponse possible était de rire avec eux.
    
    Mon sauveur m’observa
    
    — Tu le prends avec philosophie, c’est très bien.
    
    — Vous m’avez tenu la tête exprès pour que je ...
    ... m’étouffe ?
    
    — Oui, je voulais que tout le monde sache que tu étais maintenant ma femme. Tu m’en veux ?
    
    — Je pense que je le devrais, mais en fin de compte non. C’est en quelque sorte un bizutage, une initiation.
    
    — Tout à fait, maintenant tu fais partie de mon équipe. Tu y as même une place de choix.
    
    Alors que je m’apprêtais à m’essuyer avec un torchon, mon "homme" me prit la main.
    
    — Non, garde encore les traces de spermes que tu as sur le visage. Je veux que tout le monde les voie pendant que tu retourneras dans ta cellule.
    
    — Comme vous voudrez Monsieur.
    
    Il s’adressa à ses sbires en riant :
    
    Elle m’appelle encore Monsieur, comme elle est mignonne.
    
    Ses sbires éclatèrent de rire de nouveau.
    
    J’étais presque aussi honteuse qu’il ait employé un adjectif au féminin en parlant de moi, que de l’a voir sucé en public.
    
    Mon nom est DELLACOSTA, mais tout le monde m’appelle le "boss". Toi, je t’autorise à m’appeler "Philippe". Après tout, tu es ma femme maintenant.
    
    Hormis le fait qu’il m’ait encore parlé au féminin, je constatais un regard de défiance de la part des personnes autour de la table quand le boss me dit de l’appeler par son prénom. Était-ce un honneur que peu d’entre eux avaient ?
    
    Je n’eus pas le temps d’y penser davantage. Il me posait une question.
    
    — Mais au fait, j’y pense tout d’un coup. Je ne sais même pas comment tu t’appelles.
    
    — Johan, monsi..., enfin Philippe.
    
    — Très joli. A partir de maintenant, je te rebaptise JOHANNA.
    
    Il ...
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